lundi 27 octobre 2014

Apéro Jazz avec "Modern Times Quartet"




Très belle soirée au Bélize Nîmes par The Modern Times Quartet
 de Charles Huck

Un concert organisé par Le Jazz Est Là Nîmes

jeudi 23 octobre 2014

Nouveau BD sur le Blues

mercredi 22 octobre 2014

Archie Shepp


ARCHIE SHEPP DOCTEUR HONORIS CAUSA


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Communiqué :
Jeudi 23 octobre
Rencontre avec Achille Mbembe et Archie Shepp, à l’Université Paris 8
« Dans le cadre de l’année thématique « Le siècle commence en 14 – commémorer la rupture », Danielle Tartakowsky, présidente de l’université Paris 8 remettra le titre de Docteur Honoris Causa à l’historien Achille Mbembe et au musicienArchie Shepp, le jeudi 23 octobre à 17h. Tout au long de l’après-midi, plusieurs manifestations se dérouleront en l’honneur des deux récipiendaires.
Programme :
• 13h-14h00 – Amphi X - Projection du film Je connais le sens de ma musique (1976) de Marie-Paule Nègre sur Archie Shepp
• 14h30-16h30 – Espace Deleuze, Salle des Thèses Table ronde autour d’Achille Mbembe : « Politiques de la race et néolibéralisme », animée par Éric Fassin
• À partir de 17h – Amphi X - Échanges entre Achille Mbembe et Archie Shepp autour du thème « Trajectoires respectives croisées », animés par Elsa Dorlin et Philippe Michel suivis de la remise des titres de Docteur Honoris Causa par Danielle Tartakowsky
• 18h – Amphi X - Clôture Musicale par Archie Shepp, Philippe Michel, Yves Torchinsky et François Laizeau
Achille Mbembe est professeur d’histoire et de science politique, spécialiste de l’Afrique, enseignant en Afrique du Sud et aux Etats-Unis. Son œuvre aide à penser la rupture de 1914 à l’échelle mondiale et non seulement européenne. Il a travaillé en effet, de façon originale et critique, sur les processus liés à la colonisation et à la décolonisation, dialoguant avec la pensée de Césaire, Fanon et Foucault. Ses recherches considèrent l’héritage de la violence coloniale mais refusent d’envisager l’histoire du continent africain sous ce seul prisme. Il a ainsi pris une place majeure dans le champ des études postcoloniales et sur les questions raciales.
Archie Shepp est saxophoniste de jazz, compositeur, mais aussi poète engagé et dramaturge. Son œuvre revendique cette aspiration à la liberté dont le jazz est devenu le symbole. Musique du 20e siècle s’il en est, le jazz est né à l’époque du premier conflit mondial, puis s’est propagé, notamment par le relais direct des soldats américains. Le jazz a été la bande-son de tous les conflits, de toutes les révoltes, de nombreuses luttes sociales (Seconde Guerre mondiale, mouvements pour les droits civiques, guerres de décolonisation). A l’image de cette musique, Archie Shepp a toujours fait preuve d’une sensibilité éprise de justice et de liberté.
Les œuvres et travaux d’Achille Mbembe et Archie Shepp témoignent d’un engagement intellectuel, artistique et citoyen qui a une résonance toute particulière au sein de notre Université. »

samedi 18 octobre 2014

Tim Hauser de Manhattan Transfer vient de nous quitter à l'âge de 72 ans




10/16/14

Tim Hauser, Co-Founder of the Manhattan Transfer, Dead at 72

Was only original member still with the famed vocal group

Tim Hauser, who co-founded the vocal quartet the Manhattan Transfer in 1969 and was its sole remaining original member, died Oct. 16. Details regarding the cause and place of death are not yet available, but Hauser’s passing was confirmed by the other members of the Manhattan Transfer—Alan Paul, Janis Siegel and Cheryl Bentyne—on the group’s Facebook page. That lineup had been undisturbed since 1978 when Bentyne replaced Laurel Massé, injured in a car accident. (Bentyne has been sidelined on occasion during the past few years as she’s undergone treatments for Hodgkin’s lymphoma.)
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Tim Hauser of Manhattan Transfer
Schooled in classic jazz vocal harmony, swing and vocalese—they were often compared to Lambert, Hendricks and Ross in their early years—the group, named after a 1925 novel by John Dos Passos, was also immersed in ’50s doo-wop, bebop, pop, Latin and world music and other genres. The original lineup—Hauser, Erin Dickins, Marty Nelson, Gene Pistilli and Pat Rosali—released its debut album, Jukin’, on Capitol Records in 1971. That lineup, which leaned as much toward the rocking good-time jug band music of the Lovin’ Spoonful as to jazz, disbanded the following year and Hauser grouped with Massé, Paul and Siegel.
That lineup signed with Atlantic Records and released the self-titled Manhattan Transfer album in 1975. Reaching back to 1940s swing but also to the girl group sound of the ’60s and to New Orleans R&B, the album included guest contributions from saxophonists David Sanborn and Zoot Sims, trumpeters Randy Brecker and Jon Faddis and other jazz luminaries of the day.
The group continued to record for Atlantic until the late 1980s, and although none of their albums rose higher than number 22 on the Billboard album chart (1981’s Mecca for Moderns), they did enjoy one Top 10 single in their cover of the Ad-Libs’ “Boy From New York City,” from the same album. That year the group won Grammys in both the jazz and pop music categories. They won a Grammy in the Best Jazz Vocal Performance, Duo or Group category the following year for their remake of the classic “Route 66.” Ultimately the Manhattan Transfer took home 10 Grammy awards in all.
The Manhattan Transfer was also a consistently popular concert draw and found a foothold on entertainment television.
After leaving Atlantic, the group signed with Columbia Records in 1991 and, in 2003, with Telarc. In 2009 they released The Chick Corea Songbook, a tribute to the keyboardist, on the Four Quarters label. The Manhattan Transfer was inducted into the Vocal Group Hall of Fame in 1998 and was named best vocal group in theJazzTimes readers poll on several occasions.
Born in Troy, N.Y., Dec. 12, 1941, Hauser grew up in towns on the New Jersey shore, and began his singing career in Asbury Park at age 15 with a doo-wop group called the Criterions that once performed for the legendary disc jockey Alan Freed. In college Hauser sang with other vocal outfits, including one folk aggregation that included future hitmaker Jim Croce. Hauser served in the Air Force beginning in 1964 and took jobs in advertising upon his discharge, before starting the Manhattan Transfer in 1969.
Hauser released one solo album, Love Stories, in 2007.

Hauser underwent spinal surgery in 2013 and was absent from the group’s performances for some time.

mercredi 15 octobre 2014

Thomas Enhco Trio au Cratère d'Alès le vendredi 17 octobre





THOMAS ENHCO TRIO
  
JAZZ MILLÉSIMÉ ET TASTE VIN - UN CONCERT DE JAZZ SUIVI PAR LA DÉGUSTATION D'UN VIN DE LA RÉGION.
DURÉE: 1H30 ENVIRON - 850 PLACES NON NUMEROTÉES - GRANDE SALLE
TARIF: TARIF UNIQUE 16,50€ - LOCATION À PARTIR DU 12 SEPTEMBRE

> ACHETER SON BILLET 

THOMAS ENHCO : PIANO - NICOLAS CHARLIER : BATTERIE ET UN CONTREBASSISTE 

Thomas Enhco a 25 ans. Il est né dans la musique. Son grand-père est Jean-Claude Casadesus, sa mère la soprano Caroline Casadesus et son beau-père Didier Lockwood. Il commence le violon à trois ans, le piano à six, étudie le classique et le jazz dans les deux instruments, écrit ses premières compositions à six ans et enregistre son premier disque à quinze ans avec Peter Erskine (Weather Report). Depuis, tout se bouscule : distingué au Concours international Martial Solal, Django d'Or en 2010, Victoires du Jazz en 2013 et concerts dans le monde entier. Puisant aux sources du classique, Bach, Chopin, Schumann ou Ravel, Thomas Enhco sait communiquer au public, avec entrain et sensibilité, le plaisir de la mélodie et la jubilation de l’improvisation.

Ses improvisations ne font nullement étalage de virtuosité, privilégiant la dynamique et des élans lyriques remarquablement maîtrisés. Foncez écouter Thomas Enhco ! Jazzman

Apéro Jazz Nîmes le 23 octobre au Belizé, place Sévérine




Apéro Jazz Nîmes le 23 octobre au Belizé, place Sévérine

Après un concert de rentrée au Bélize avec un public bien fourni, voici notre rendez-vous "apéro-jazz"le jeudi 23 octobre à partir de 19h30 au Bélize avec une formation de jeunes musiciens de Montpellier qui ont déjà fréquenté quelques belles scènes. Nous sommes donc ravis de les accueillir à Nîmes où ils joueront pour la première fois.
Quatre jeunes qui se sont rencontrés dans l'effervescence culturelle et musicale de Montpellier forment ce "Modern Times Quartet" après avoir étudié ensemble au conservatoire de jazz où ils ont obtenu leur diplôme en 2013. Ces années de formation, terreau d'une complicité artistique et humaine, les ont amenés à
créer un groupe qui joue une musique sincère et originale, marquée par leurs influences communes et par l'héritage du jazz américain sous des formes très variées. Leur jeu est dynamique et plein d'enthousiasme.
Remarqué lors du festival off de Marciac, ce groupe va donc pour la première fois se produire pour le public nîmois et les habitués des rendez-vous de
Le Jazz Est Là.
Nous vous attendons donc nombreux pour découvrir ensemble Mickaël Pernet aux saxophones, Jules Le Risbé au piano, Valentin Jam à la batterie et Charles Huck à la contrebasse.

ENTREE LIBRE (prochain concert : 14 nov. François Jeanneau trio)








mardi 14 octobre 2014

Jazz is good for YOU!

Take note: Jazz and silence help reduce heart rate after surgery, study shows

October 13, 2014
American Society of Anesthesiologists (ASA)

Date:
Source:



searchers are one step closer to confirming what people in New Orleans have known for decades: Jazz is good for you. Patients undergoing elective hysterectomies who listened to jazz music during their recovery experienced significantly lower heart rates, suggests a study presented at the ANESTHESIOLOGY™ 2014 annual meeting.
But the research also found that silence is golden. Patients who wore noise-cancelling headphones also had lower heart rates, as well as less pain.
The results provide hope that patients who listen to music or experience silence while recovering from surgery might need less pain medication, and may be more relaxed and satisfied, note the researchers.
"The thought of having a surgical procedure -- in addition to the fears associated with anesthesia -- creates emotional stress and anxiety for many patients," said Flower Austin, D.O., anesthesiology resident, Penn State Milton S. Hershey Medical Center, Hershey, Pa., and lead study author. "Physician anesthesiologists provide patients with pain relief medication right after surgery. But some of these medications can cause significant side effects."
A total of 56 patients were randomly assigned to listen to jazz music (28 patients) or to wear noise-cancelling headphones (28 patients) in the postoperative care unit (PACU). Heart rate, blood pressure and pain and anxiety levels were checked right after surgery (baseline), and then at regular intervals during the subsequent 30-minute intervention period. The heart rates were significantly lower compared to baseline for both groups. After 20 minutes, heart rates were lower in the jazz group than in the noise-cancellation group. However, pain scores were lower in the noise-cancellation group compared to the jazz group after 10 minutes.
Although jazz does not seem to help with pain, studies have shown that music is therapeutic.
"The goal is to find out how we can incorporate this into our care," said Dr. Austin. "We need to determine what kind of music works best, when we should play it and when silence is best. But it's clear that music as well as silence are cost effective, non-invasive and may increase patient satisfaction."



Story Source:
The above story is based onmaterialsprovided byAmerican Society of Anesthesiologists (ASA).Note: Materials may be edited for content and length.

Cite This Page:
American Society of Anesthesiologists (ASA). "Take note: Jazz and silence help reduce heart rate after surgery, study shows." ScienceDaily. ScienceDaily, 13 October 2014. .



mardi 7 octobre 2014

Jazz, à l’envie à la mort


«Jazz is not dead» : c’est la punchline du festival Jazz à la Villette, dont l’édition 2014 vient de s’achever. Clin d’œil à Frank Zappa qui, en 1974, avait eu cette fameuse formule : «Jazz is not dead, it just smells funny» («le jazz n’est pas mort, il a juste une drôle d’odeur»). Le genre musical porté par Duke Ellington, Charlie Parker, John Coltrane et des milliers d’autres improvisateurs est certes encore vivant, mais a-t-il un avenir ? N’est-il pas devenu une musique de répertoire, encline aux commémorations et aux hommages, aux redites et aux citations ? Le festival de la Villette, avec bien d’autres, entend prouver chaque année que non, quoique sa punchline montre qu’il se pose bel et bien la question.
la suite, cliquez sur le lien!

dimanche 5 octobre 2014

Jacques Thollot (1946-2014), batteur et compositeur de jazz




Né à Vaucresson le 9 octobre 1946, le batteur et compositeur de jazz Jacques Thollot est mort à Mainneville (Eure), le 2 octobre, des suites d’une crise cardiaque.

Avec sa frange blonde, ses yeux dans les étoiles, ce son d’envol de mésanges qu’il imprimait aux cymbales, ce tempo, cette gestuelle d’homme libre assis aux tambours ; avec le temps, avec sa vie et ses légendes, l’ampleur de sa présence sur terre, très inversement proportionnelle à sa réputation, on pourrait à peu de frais vous faire le coup du poète maudit, écorché, destin brisé, et toutes les fanfreluches de l’hélas.
Manque de bol, Thollot, c’est le contraire. D’une extrême distinction, d’une élégance recherchée, Thollot portait en lui l’idée la plus haute de la musique. Il l’était. Citant des poètes que personne n’avait lus, exprimant, comme sa compagne Caroline de Benderm, des points de vue inédits sur l’Afrique ou le vaste monde qu’ils avaient traversés avec Barney Wilen (autre archange, du saxophone ténor). Il y aurait une science à construire sur l’inconnaissance de Thollot.
Même le très convenu Dictionnaire du jazz (Laffont, collections Bouquins), très « Lagarde et Michard » sur ce coup-là, n’aborde son « entrée » que du bout de l’orteil avant d’enfiler les patins. Thollot fait peur à ceux qu’effraie la dimension d’être. Ou alors, on l’adule : sans condition, avec ses crises, ses colères, ses exigences, sa beauté, cette insensée drôlerie qu’il aurait dû breveter, tant elle ne ressemblait à rien de connu. 


jeudi 2 octobre 2014

Concert Nikki Yanofsky à Nîmes le mercredi 8 octobre


Concert Nikki Yanofsky au théâtre C. Liger. Nîmes

Nikki Yanofsky
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JAZZY

Depuis 2006, elle s’est produite sur de nombreuses scènes musicales et notamment au Festival international de jazz de Montréal1 pratiquement à chaque année depuis cette date. En février 2010, elle chante la chanson thème des Jeux olympiques d’hiver de Vancouver, en compagnie d’Annie Villeneuve, J’imagine ou I Believe en anglais. Elle a également participé à l’ouverture des Jeux olympiques d’hiver de 2010 à Vancouver en chantant l’hymne national canadien.
Lors de l’été 2013, elle entame une tournée appelée Little Secret, dans le but de promouvoir la sortie prochaine de son nouvel album du même nom, attendu à l’automne 2013. Les 4, 5 et 6 juillet 2013, elle fait un retour au Festival international de jazz de Montréal avec son spectacle Little Secret au Théâtre du Nouveau Monde à l’occasion de la sortie prochaine de son nouvel album. Ces trois concerts se sont déroulés à guichets fermés.

  • Mercredi 8 octobre 2014 | 20h00

 Places : 12 et 15 e
Renseignements et réservations auprès de la Direction des affaires culturelles, 04 66 76 74 49