mercredi 30 janvier 2013

Mort de Jef Lee Johson






Jef Lee Johnson est mort

Guitariste furieux et sideman prestigieux, le musicien de Philadelphie qui slalomait avec génie entre jazz, funk, rock et blues est décédé à 54 ans..

PAR MAX DEMBO | CHERS DISPARUS | 29 JANVIER 2013
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Jef Lee Johnson est décédé le 28 janvier à l'âge de 54 ans. Génial musicien ovni, son impressionnant CV à rallonge accumulait les rencontres étonnantes et les projets passionnants du jazz à la soul en passant par le rock, le funk et le blues. Guitariste furieux, il était de ces musiciens éclectiques, sans ornière, embrassant l’intégralité de la Great Black Music et ne cessant surtout de la revisiter.
Vétéran du David Letterman Band, Jef Lee Johnson avait accompagné Aretha Franklin, intégré le groupe de Ronald Shannon Jackson, joué sur River Of Dreams de Billy Joel, travaillé avec des chanteuses comme Chaka Khan, Rachelle Ferrell ou bien encore Eryka Badu, et participé à un hommage à Miles Davis avec Marcus Miller. Encore plus ? Huey Lewis, Leon Russell, David Sanborn, McCoy Tyner, Sister Sledge, Mariah Carey, Jane Birkin, D'Angelo, les Roots, Common, Stanley Clarke, Melodie Gardot et Michel Portal ont aussi croisé sa route !
Avec Michael Bland et Sonny Thompson (solide rythmique du NPG de Prince), Jef Lee Johnson avait fondé l’excellent projet News From The Jungle, étonnante relecture de la tradition afro-américaine. En 2005, il avait enregistré Thisness sous son nom, avec son trio composé de Chico Huff à la basse et Ted Thomas jr. à la batterie (avec en invité l’actrice Nathalie Richard reprenant du Ferré et du Gainsbourg !).
Un autre trio vient s’ajouter à ses multiples expériences avec le batteur Charlie Patierno et le bassiste éthiopien Yohannes Tona. En 2009, il enregistre avec eux à Minneapolis un hommage à Bob Dylan, The Zimmerman Shadow.

http://www.qobuz.com/info/MAGAZINE-ACTUALITES/CHERS-DISPARUS/Jef-Lee-Johnson-est-mort173286

Sylvain Cathala Trio à Bruxelles

Les Français débarquent à Bruxelles en trio; article par Jacques Prouvost



SYLVAIN CATHALA TRIO - CERCLE DES VOYAGEURS

Jeudi 13 décembre. La cave du Cercle des Voyageurs est vide. Sylvain CathalaSarah Murcia et Christophe Lavergne s’accordent une dernière fois. Il est passé 21 heures, j’ai un peu peur d’être seul face aux trois musiciens.
Cet excellent trio français, souvent récompensé dans son pays – à juste titre - et trop peu médiatisé chez nous s’est rarement produit en Belgique. Voilà deux bonnes raisons pour ne pas rater ce concert.
cercle des voyageurs,sylvain cathala,sarah murcia,christophe lavergne
Mais alors, où sont les curieux et les amateurs?
Cathala va souffler les premières notes et, comme par magie, le public vient remplir la salle. Juste à temps. Ouf, me voilà rassuré…
Ce sont les premières notes de «Moonless» qui résonnent. Le son est chaud, enveloppant, presque gras. La musique prend le temps de s’installer, d’occuper l’espace. Mais bien vite elle évolue et s’enrichit de combinaisons sophistiquées.
Sarah Murcia passe devant et nous sert un solo ferme et déterminé. Il n’y a pas à dire, on est loin d’un walking.
Avec «Hope», le son devient puissant, tendu et claquant. Toute la musicalité vire en un discours énergique, fait de phrases définitives.
cercle des voyageurs,sylvain cathala,sarah murcia,christophe lavergne
Les idées sont claires et bien dessinées. La musique circule et la conversation est souvent animée. Les rythmes et les harmonies s’enchevêtrent parfois de façon complexe. Tout se joue dans un mouchoir de poche. Pas besoin de développer trop longtemps une idée, dès que le message est passé, on passe au suivant.
Tout est mouvant, flottant presque. Le trio surfe sur un faux rubato. Les thèmes balancent et donnent une impression d’ondulation permanente. Très ouverts, les morceaux se laissent parfois influencés par des rythmes tantôt orientaux («Constantine»), tantôt bluesy, tantôt très urbain.
La frénésie s’empare parfois du trio, comme s’il voulait secouer la pulpe du fond et revoir la musique à l’envers. Le drumming de Christophe Lavergne est foisonnant, nerveux et groovy. Il s’aide parfois de petits accessoires (une boîte de pastilles Valda, par exemple) pour colorer et nuancer plus encore son jeu.
On décèle dans le groupe, ici et là, l’influence d’un Steve Coleman ou d’un Aka Moon peut-être…
Parfois plus introspectifs, certains morceaux révèlent un parfum de mystère («Diamant»?). Légèrement déstructuré, le thème avance comme sur un terrain presque inconnu. Le trio joue à cache-cache. On avance à tâtons et chaque musicien propose des idées, donne des bribes des solutions, ose des éléments de réponses… ou laisse en suspens la résolution.
cercle des voyageurs,sylvain cathala,sarah murcia,christophe lavergne
Sylvain Cathala tient quelquefois la note haute, il aime flirter avec les sommets et titiller les aiguës. Mais après quelques circonlocutions acrobatiques et brèves, il rejoint ses deux complices.
Et les voilà totalement unis. Trois voix, un son.
C’est cette belle unité et cette énergie qui permet au trio de passer avec une certaine aisance au travers d’harmonies et d’arrangements complexes. Hé oui, le groupe se donne la peine de jazzer autrement… sans toutefois faire table rase du passé.
Et dans la cave - bien remplie maintenant - le public ne cache pas son bonheur.
Un nouvel album est en préparation et devrait sortir début avril. Ce serait peut-être l’occasion pour le groupe de revenir fêter ça en Belgique !
En tous cas, on est curieux et déjà impatient d’entendre le résultat.
A+

dimanche 27 janvier 2013

Dr. Martin Luther King, Jr et le Jazz

Le 15 janvier 2013  était la journée  de Dr. Martin Luther King,  Jr. , sa date de naissance.
En-dessous un article de lui sur l'importance de jazz



Dr. Martin Luther King, Jr On The Importance Of Jazz

On the Importance of Jazz
Dr. Martin Luther King, Jr., Opening Address to the 1964 Berlin Jazz Festival:
God has wrought many things out of oppression. He has endowed his creatures with the capacity to create—and from this capacity has flowed the sweet songs of sorrow and joy that have allowed man to cope with his environment and many different situations.
Jazz speaks for life. The Blues tell the story of life's difficulties, and if you think for a moment, you will realize that they take the hardest realities of life and put them into music, only to come out with some new hope or sense of triumph.
This is triumphant music.
Modern jazz has continued in this tradition, singing the songs of a more complicated urban existence. When life itself offers no order and meaning, the musician creates an order and meaning from the sounds of the earth which flow through his instrument.
It is no wonder that so much of the search for identity among American Negroes was championed by Jazz musicians. Long before the modern essayists and scholars wrote of racial identity as a problem for a multiracial world, musicians were returning to their roots to affirm that which was stirring within their souls.
Much of the power of our Freedom Movement in the United States has come from this music. It has strengthened us with its sweet rhythms when courage began to fail. It has calmed us with its rich harmonies when spirits were down.
And now, Jazz is exported to the world. For in the particular struggle of the Negro in America there is something akin to the universal struggle of modern man. Everybody has the Blues. Everybody longs for meaning. Everybody needs to love and be loved. Everybody needs to clap hands and be happy. Everybody longs for faith.
In music, especially this broad category called Jazz, there is a stepping stone towards all of these.



Le JAZZ GALLERY à New-York vient de déménager

New York connait beaucoup de clubs de jazz de très haute qualité, comme le JAZZ GALLERY!
Mais le progrès dans l'urbanisation a forcé l'ancien Jazz Gallery (photo en bas) de déménager  vers un
endroit moins club ou jazz, mais bon, l'ambiance musicale  va continuer de progresser  à  Broadway.


Si vous êtes à New York et vous aimez le jazz, il faut leur rendre visite, pour la musique et pour les expos sur leurs murs!

Adresse: 1160 Broadway 5th floor  tél.: 212-242 1063

NY CULTURE

Jazz Gallery Gets a New Lease on Life

The Venerated Performance Space Picks Up Where It Left Off


On a Saturday night in mid-December, guitarist Adam Rogers called pianist Vijay Iyer to the stage of the Jazz Gallery, on Hudson Street. As the pianist made his way, Mr. Rogers recalled spots such as Studio RivBea and Soundscape, the loft spaces and clubs that, decades ago, helped nurture adventurous jazz and its audience in Manhattan. "Of all the venues in New York City," he told the audience, "the Jazz Gallery is the one that carries on that same vibe and purpose."

There was cause for reflection. This was the final performance in this second-story spot. The building had been rezoned, soon to house residential lofts. Paintings by Alix Delinois that lined the walls—it was an actual gallery, too, of jazz-related art—would be packed up, along with memorabilia from 17 years of activity.
Natalie Keyssar for The Wall Street Journal
Rio Sakairi, left, and Deborah Steinglass unwrap a poster in the Jazz Gallery's new space on Broadway, in the Flatiron District.

Deconstructing the ballad "I Fall in Love Too Easily," Mr. Iyer marked the midpoint of a night featuring nearly two-dozen musicians with close ties to the venue. Some, like him, found early exposure here before achieving broader success. It's also true of pianist Jason Moran, saxophonist Miguel Zenón and drummer Dafnis Prieto, all three now MacArthur Foundation Fellows. Nine of the past 11 winners of the Thelonious Monk International Jazz Competition played the gallery prior to their victories.

As Mr. Iyer said later, "In the 14 years I've lived in New York, I can't imagine how my life would have unfolded without the Jazz Gallery. Improvisation is how we develop, change and become something new. The spontaneous musical offering on this last night was a kind of community ritual, expressing that simple truth."
The Jazz Gallery's staff had to improvise last year, not to help it become something new but to transplant its essence. Less than a week after that jam session, Deborah Steinglass, the gallery's executive director, announced a new home for the nonprofit organization.

On Thursday, saxophonist Darius Jones and his quartet will inaugurate the new space, at 1160 Broadway, just north of the Flatiron Building. Mr. Jones—a soulful, adventurous musician—and other scheduled performers extend the gallery's signature of forward-leaning music that often crosses geographic borders: Argentine bassist Pedro Giraudo will lead his big band on Friday and Saturday; the dynamic bassist Linda Oh plays Jan. 25; saxophonists Roman Filiu, from Cuba, and Melissa Aldana, from Chile, perform later this month.

One recent afternoon, sunlight streamed through the new gallery's skylight. "It's cozy, right?" Ms. Steinglass said. "Sort of looks and feels like the old spot." Beside her, Rio Sakairi, the director of programming for the past 13 years, described her aesthetic as simply "soulful" music.
"That's not a stylistic reference," Ms. Sakairi said. She's most interested in individualized statements from musicians. "I want the music to tell us who you are," she said.

Such artistic commitment often requires support beyond a simple gig. The gallery's longstanding commission and residency programs helped composer Darcy James Argue develop music that earned his Secret Society big band a Grammy nomination. For seven years, saxophonist Steve Coleman has led Monday-night improvisation workshops. Last year, the Woodshed, funded through an online Kickstarter campaign, made the gallery available during off hours as a rehearsal space.
The need to move, plus the challenges now common to all arts organizations, set off an ambitious development drive. The gallery has raised roughly one-quarter of the $250,000 target for its current "Home Run" campaign, and its long-term future is far from clear. It will share the new fifth-floor space with the Gallery Church (the similar names are coincidental). That agreement runs through February 2014, with hopes for a much longer stay, according to Ms. Steinglass.
Dale Fitzgerald, the Gallery's executive director until 2009, leased the original spot in 1995 as a rehearsal space for trumpeter Roy Hargrove. The two ended up founding a nonprofit venue. "My idea from the start was that jazz is an international and interdisciplinary language," Mr. Fitzgerald said. Michael Cummings's jazz-themed quilt hung near the front door. One photo exhibition displayed images of Havana as seen by Cuban and American photographers. The Gallery has especially showcased and nurtured New York's vital Afro-Latin presence. For saxophonist Yosvany Terry and Mr. Prieto, its "Jazz Cubano" series extended collaborative experiments the two began while students in Havana. "It was our new laboratory," Mr. Terry said, "in our new city."
At the new Jazz Gallery, a volunteer arranged chairs, leaving the customary narrow aisle for performers toward the stage. Ms. Steinglass said, "I want this to remain informal, without much separation between artist and audience."
Mr. Fitzgerald likes that the new spot hosts church services on Sundays. "I always did feel," he said, "like this place was built on faith."
A version of this article appeared January 16, 2013, on page A25 in the U.S. edition of The Wall Street Journal, with the headline: New Lease for Jazz Gallery.

jeudi 24 janvier 2013

L'Impérial Quartet au Périscope à Nîmes le 1 février


Après quelques concert par L'IMPéRIAL ORPHEON autour d'Alès début de la semaine prochaine , quelques musiciens de ce même quartet  donneront un autre concert avec L'IMPERIAL QUARTET à Nîmes au Périscope le 1 février.


Imperial Quartet

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Bouillonnement sonore d’un quartet jazz à la musique impertinente et impeccable.

Complices depuis de nombreuses années, quatre musiciens fondent Imperial Quartet en 2010. Sans instruments polyphoniques mais en faisant appel à la famille des saxophones au grand complet, le groupe offre une grande variété de timbres et de sonorités.
Imperial Quartet explore de nouveaux territoires musicaux, qui ne sont pas sans évoquer les musiques transes ou le groove. Leur musique est organique, vivante, transcendée par une énergie rock où l’improvisation est fondamentale.

« À l’origine de ce réjouissant laboratoire d’expérimentations sonores et de recherches timbales, deux copains, unis depuis leur adolescence lyonnaise par une complicité quasi gémellaire. À savoir les saxophonistes Gérald Chevillon et Damien Sabatier. Après avoir fait leurs débuts dans la rue, ils montent très vite le trio Achille Blick avant de rejoindre en 2002 la famille Tous Dehors. Mais c’est au batteur et cofondateur du Surnatural Orchestra, Antonin Leymarie que l’on doit d’avoir eu le premier l’idée de ce quartet [...]. Autour d’un répertoire original qui allie gravité et légèreté, ils s’amusent, avec une inépuisable énergie interactive, à se surprendre et à déjouer les pièges d’une improvisation collective qui tire toute sa force d’une passion rythmique sûre, souple
et généreuse. » PA, Jazzmag, janvier 2012
Regardez une vidéo ici :

IMPERIAL QUARTET

SAXOPHONES Gérald Chevillon, Damien Sabatier BASSE ELECTRIQUE Joachim Florent BATTERIE Antonin Leymarie

Ce spectacle reçoit le soutien de Réseau en Scène Languedoc-Roussillon www.reseauenscene.fr

imperial quartet, damien sabatier, gérald chevillon, joachim florent, antonin leymarie, oncert, trig, jazz, punchy, musique, organique, spectacle, saxophones, basse, batterie, surnatural orchestra, delco session, théâtre, périscope, nîmesimperial quartet, damien sabatier, gérald chevillon, joachim florent, antonin leymarie, oncert, trig, jazz, punchy, musique, organique, spectacle, saxophones, basse, batterie, surnatural orchestra, delco session, théâtre, périscope, nîmesIN EXTENSO A LA PROGRAMMATION ARTISTIQUE, L'ASSOCIATION TRIG - pour la promotion des arts sonores et numériques - PROPOSE DES SOIREES MUSICALES INSOLITES ET DE HAUT VOL AU P

mercredi 23 janvier 2013

La nostalgie de Nice avec un grand Arnett Cobb

Un peu de la nostalgie venant du Nice Jazz Festival avec le Swinging Big Band de Lionel Hampton et
le très grand saxophoniste ténor de Texas: Arnett Cobb.

Amusez vous en écoutant ce video !    http://crownpropeller.wordpress.com/


Unpublished Interview with Arnett Cobb (1980)

Posted in Arnett CobbclipsdocumentsLionel Hampton with tags , on January 12, 2013 by crownpropeller
My friend, the late swiss jazz researcher Otto Flückiger, was a great fan of tenor saxophonist Arnett Cobb (1918–1989). So when Otto went on a trip through the USA in spring of 1980 he took the chance to visit Cobb in his hometown, Houston TX.
cobb_otto
Arnett Cobb with Otto Flückiger in Cobb’s home, Houston TX, spring 1980.
Photo probably by Trudi Flückiger.
On that occasion Otto interviewed Cobb about his career,  playing with Frank Davis, going to Chicago with Milton Larkin to play at the Rhumboogie, joining Lionel Hampton, forming his own band and the auto accident that dramatically changed Cobb’s life. There are about 40 minutes from this interview on a C90 cassette tape which I found in Otto’s collection:
interview_tape
So I decided to digitize this – unpublished as far as I know – fantastic interview. I just edited out some longer passages of silence and some parts where the conversation is running in circles and into dead ends caused by translation problems. The female voice in the later parts of the interview is Trudi, Otto’s wife, who probably also took the photo of Cobb and Otto shown at the top.
I was always waiting to find the time to transcribe the interview, but I probably never will. So I am putting it up here for you all to hear and cherish yourself:


If you came here because you like Arnett Cobb. I got something more for you. First some nice photographs that Otto Flückiger took when Arnett Cobb appeared in Baden, Switzerland on May 4, 1974 (you can click to enlarge)
cobb_collage_baden_1974(Click to enlarge) Arnett Cobb at a concert in Baden, Switzerland, 1974.
Photos by Otto Flückiger
And here is some footage of Arnett Cobb featured with the Lionel Hampton Band in Nice, France in summer 1978.
 Enjoy!

lundi 21 janvier 2013

CONCERT L'IMPERIAL ORPHEON


LUNDI 28 JANVIER

ST JULIEN LES ROSIERS - Gard
Espace Nelson Mandela, 20h30

IMPERIAL ORPHEON                        
  
Soirée en partenariat avec Le Cratère, Scène Nationale d'Alès et la commune de St Julien Les Rosiers.
Rémy Poulakys (accordéon), Gérald Chevillon (saxophone basse), Damien Sabatier (saxophone baryton), Antonin Leymarie (batterie)
Jeunes, talentueux, virtuoses, inventifs, avec une énergie époustouflante. Deux souffleurs incroyablement puissants qui utilisent la famille des saxophones au grand complet; un accordéoniste ahurissant à la voix comme à l’accordéon ; un batteur capable de la plus grande finesse ou devenant quasi animal dans les transes les plus intenses.
Une véritable explosion sur scène où ces quatre complices généreux revisitent des choros brésiliens, des thèmes bulgares endiablés, des tours de chant rossiniens ou des standards de musette. Une invitation à la danse insolite et joyeusement déjantée !
Avec cette nouvelle formation, l’Imperial Orphéon trace une ligne musicale inventive aux contours accrocheurs, et qui n’est pas sans surprises…Le souffle est là, bousculant et dérangeant les codes par ses associations multiples et diverses !


 LUNDI 28 JANVIER
ST JULIEN LES ROSIERS, Espace Nelson Mandela 20h30
Tarifs : 10 euros / 9 euros / 5 euros
Renseignements et réservations, Le Cratère : 04 66 52 52 64
Du lundi au vendredi de 13h15 à 18h00 et le samedi de 10h à 13h
ou sur www.lecratere.fr

dimanche 20 janvier 2013

Joelle Léandre dans la Libération de Bruno Pfeiffer


19/01/2013