samedi 31 mai 2014

Rencontre avec Guy LOCHARD

Rencontre avec Guy LOCHARD
le Jeudi 5 Juin à 19h




"Aux limites, les frontières au prisme de la fiction"
(préface de Daniel Cohn-Bendit)
éditions: Alter Ego

 Depuis longtemps romanciers et cinéastes ont fait des épreuves humaines
engendrées par les frontières le moteur de leurs recits.
Et la mondialisation n'a fait qu'amplifier le phénomène.
Partant de l'idée que la fiction litttéraire et cinématographique
est plus à même que les sciences humaines de rendre compte de la densité
et de la diversité de ces expériences,

Guy Lochard revisite sous cet angle les œuvres de nombreux créateurs.
De Jean Giono à Marie NDyaye en passant par Carson Mac Carthy. De Charlie Chaplin à André Téchiné en passant par Wim Wenders.


Né à Collioure, Guy Lochard est professeur émérite à l'université de la Sorbonne Nouvelle-Paris 3.
IL est l'auteur de plusieur ouvrages sur les médias. Aprés un premier documentaire
(Une histoire de frontiére, 2006),
il vient de co-réaliser deux films sur le festival Jazz à Junas.






LIBRAIRIE LE GRAIN DES MOTS
13 bd du Jeu de Paume
34000 MONTPELLIER
04 67 60 82 38

jeudi 29 mai 2014

Résidence Jazz L'R

"l'Etranger" Albert Camus
Résidence Jazz L'R
condition organisationnelles Jazz à Junas 
à
Théatre de Vergèze 30,
du lundi 27 mai au vendredi 30 mai 2014.
Interprétation et mise en scène :
- Pierre-Jean Peters.
Musiciens, direction artistique :
- Jean-Pierre Jullian: batterie, percussions,
- Adrien Dennefeld: guitare, violoncelle,
- Guillaume Séguron: contrebasse, basse.
Ingénieur du son :
- Pierre Vandewaeter.





mardi 27 mai 2014

Photos par Jarou de la conférence de presse à Nîmes



lundi 26 mai 2014

Concert Pierre Coulon Cerisier Quartet à Anduze

Pierre Coulon Cerisier piano, Geraldine Laurent alt sax, Michel Altier contrabasse et Samuel Silvant batterie



20140510 junas concert à anduze
concert de jazz à Anduze organisation Jazz à Junas école de musique
01:17:15
Ajoutée le 19/05/2014

mardi 20 mai 2014

2014 JJA Jazz Awards WINNERS Music categories






Congratulations to the winners of the 18th annual Jazz Journalists Association Jazz Awards for Music and Recording, listed below. Professional Journalist Members of the JJA made open nominations in a first selection round; those who received the most nominations advanced to the final 
ballot.

Winnerslist:

http://www.jjajazzawards.org/2014/04/2014-jja-jazz-awards-winners-music.html

samedi 17 mai 2014

Concert RESURGENCE par le Michel Edelin Quartet le vendredi 23 mai 21h à l'Ever'in cafe Nîmes




Michel Edelin quartet

Pourquoi ce concert sera encore une fois un évènement avec Le Jazz Est Là ? 

VENDREDI 23 MAI 21h Ever’in Nîmes
Sans compter que le groupe viendra à Nîmes pour un concert unique dans le sud, cette formation initiée par Michel Edelin, qui s’est produite en début d’année au festival Sons d’Hiver à Paris et qui a enregistré l’album « Résurgence » en 2013 chezRogueArt reçoit des éloges de toutes parts. Eloges bien mérités au regard de l’itinéraire musical remarquable de chacun des musiciens. Rappelons brièvement que Michel Edelin est un des rares jazzmen ne se consacrant qu’aux flûtes, éminent représentant de l’instrument, compositeur renommé dont les collaborations avec les plus grands ne se comptent plus.
Jacques Di Donato et Simon Goubert sont ses complices de longue date. Le premier, membre du célèbre quartet français de saxophones avec Philippe Maté, J.L. Chautemps et François Jeanneau, a aussi cotoyé tous ceux qui ont durablement marqué le jazz en France : Lubat, Portal, Humair, Texier… virtuose de la clarinette dans le jazz comme dans la musique contemporaine ou ailleurs ! Le deuxième, depuis Magma, a également multiplié les collaborations se produisant, entre autres, avec Sophia Domancich, Glenn Ferris, Emmanuel Bex, J.J. Avenel… avec un jeu toujours inventif et puissant. Stephane Kerecki contrebassiste très vite repéré de la nouvelle génération, acteur de nombreux projets, livre ici toute l’étendue de son talent poussé par l’ingéniosité des soufflants.

Laissons donc la place aux critiques qui confirment nos propos sur ce groupe :
« Le flûtiste Michel Edelin signe ces onze compositions, conçues comme autant de scénarios prétexte au déploiement d’une matière sonore étonnamment riche… C’est en elle-même et pour goûter la rencontre de quatre musiciens que cette « Résurgence » est à découvrir, d’urgence » JazzMag/Jazzman
 « Ce jazz là énonce l’évidence…. C’est un jazz qui existe aujourd’hui et existera demain et après-demain. C’est donc un jazz intemporel au-delà des phrases, des modes, des formes. Il y a Michel Edelin et ses flûtes… qui maîtrisent l’harmonie, des flûtes qui, discrètes et aimantes, zèbrent l’instant. Il y a Di Donato… des clarinettes qui débusquent les terrains interdits… qui animent le cri. C’est un jazz qui ne s’oublie pas de sitôt. » Improjazz sept.2013

« La musique du quartet explore donc des contrées diverses, mais qui ont toutes un point commun : une forte présence rythmique. Du début à la fin du concert, Kerecki et Goubert maintiennent une tension énorme ! » Le Monde Jazz à Babord

Réservation conseillée : lejazz.estla@laposte.net / 04 66 64 10 25

PROCHAIN RDV : « Jazz à tous les étages » FÊTE DE LA MUSIQUE
Sam. 21 JUIN à l’Ever’in

mercredi 14 mai 2014

Jazz in Arles 2014

Jazz in ArlesLe lundi 12 mai 2014 à 20h30

Jazz in Arles est devenu au fil des années un rendez-vous incontournable. Ce festival offre une véritable complicité entre artistes et spectateurs, dans le cadre aussi exceptionnel qu'intimiste de la chapelle du Méjan.
Pour sa dix-neuvième édition, nous souhaitons vous faire partager nos découvertes qui dévoilent, dans le Jazz d'aujourd'hui, les attitudes créatrices multiformes. À l'écart des modes et des engouements passagers, nous proposons une programmation ayant pour mission de faire connaître au plus grand nombre aussi bien des nouveaux talents que des musiciens reconnus porteurs de la richesse du patrimoine de cette musique.
Du 12 au 24 mai prochain, pour cette nouvelle semaine de Jazz in Arles, les concerts, lectures, expositions et projections seront à partager et à découvrir.
Rythmes lascifs, mélodies subtiles, improvisations sophistiquées pour un plaisir garanti. Le jazz, tout simplement.

Nathalie Basson & Jean-Paul Ricard


Lundi 12 mai / 20h30
LECTURE MUSICALE


Le long de la plage
    
   Michel BUTORrécitant
Marc COPLANDpiano
L’inattendue mais évidente rencontre de deux poètes, celui des mots du père du Nouveau Roman et celui des notes du jazzman américain.
Le long de la plage est avant tout l'histoire d'une rencontre entre la musique d'un jazzman américain à la carrière riche et les mots d'un grand écrivain-poète-voyageur français. Le projet naît en 2008, ils ne se connaissent pas mais l'évidence d'un lien entre leurs arts respectifs se fait très vite. Marc Copland décide d'improviser sur les mots de Michel Butor. L'aventure chemine pour que Michel Butor accepte, à son tour, d'écrire des textes pour la musique de Marc Copland. Le disque est né. Il sera enregistré au réputé studio de la Buissonne, sans répétition et presque en une prise. Jeu subtil et écoute intelligente de l'un et de l'autre. Michel Butor est autant musicien que Marc Copland, qui lui-même est poète à cet instant.
On les accompagne bien volontiers pour cette balade Le long de la plage.


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Samedi 17 mai / 16h30 / Médiathèque d'Arles
CONCERT-RENCONTRE GRATUIT
Wood
Matthieu DONARIERsaxophone & clarinettes
Sébastien BOISSEAUcontrebasse
Groupe de scène avant tout, ce duo de l’instinct et de l’instant démonte et remonte sans cesse ses compositions, improvise des hymnes à l’amour, des chants d’oiseaux jamais entendus.
Wood sonde patiemment la matière, fait jaillir les résonances, creuse les silences, patine son chant jusqu'à l'épure.
Wood rend hommage à Duke Ellington et revisite Joachim Kühn avec la même force de propos. Les racines sont ancrées dans la terre du jazz, pour autant les branches sont multiples, pleines de fruits.
Leur musique coule de source : bien malin qui peut dire où commence l'improvisé, où finit l'écriture... c'est une des forces de ce duo, qui confirme définitivement la complicité de ces orfèvres que sont Sébastien Boisseau et Matthieu Donarier. 


Samedi 17 mai / 18h30 / Chapelle du Méjan
APERO-CONCERT GRATUIT
Airelle BESSONtrompette
Nelson VERASguitare
Nelson Veras et Airelle Besson ou le dialogue entre une trompette au son pur, au jeu raffiné, souple, volubile, doux et une guitare personnelle, phrasée, charmeuse et virtuose. Un duo unique et poétique.

Nelson Veras et Airelle Besson se sont rencontrés il y a une dizaine d'années. Ils ont un langage en commun où l'échange, l'écoute, la créativité et la fraîcheur sont les maîtres mots. Fluidité du jeu, élégance du phrasé. Ils ont choisi le duo acoustique afin de découvrir la liberté d'expression et d'explorer un nouvel espace musical. Nelson et Airelle sont deux musiciens généreux, expressifs, lyriques dont la maîtrise instrumentale n'a d'égal que leur goût du risque musical. Leur exigence de l'improvisation ne connaît pas de limite. La musique alterne entre compositions, standards de jazz, chansons, improvisations.   


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Lundi 19 mai / 10h & 14h30
SCOLAIRES
Chansons pour les petites oreilles
         
Elise CARONchant, textes & musique
Christine CHAZELLEpiano
Michel MUSSEAUscie musicale et piano jouet
Spectacle écrit en 2000 par Elise Caron, les Chansons pour les petites oreilles ont été écrites comme un pont entre l'enfant et l'adulte, l'oeuf et la poule, le coq et l'âne, le fou et le sage ; un pont musical et poétique, complexe et naïf, un discours
d'enfant qui a grandi et qui chante sa philosophie.


Les Chansons sont avant tout des histoires à écouter, des portes ouvertes sur l'univers magique d'Elise Caron grâce sa voix oscillant entre chuchotement et lyrisme.
Elles abordent plusieurs thèmes comme le temps, à travers les saisons et tout ce qui s'y lie (les couleurs, les activités, le rythme...) ; l'enfance et l'imaginaire (animaux et créatures fantastiques, contes et personnages...).

En partenariat avec le Conservatoire de musique du Pays d'Arles, dans le cadre du projet L'école du mélomane


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Mardi 20 mai / 20h30
Thrill Box
Vincent Peirani Trio
Vincent PEIRANIaccordéon
Michaël WOLLNYpiano
Michel BENITAcontrebasse


Musicien sans frontières et sans limites, Vincent Peirani est la révélation, devenue confirmation, de l’accordéon.
Thrill Box est le premier album enregistré par Vincent Peirani en tant que leader.
Conséquence, imprévue mais heureuse, d'une belle collaboration avec la chanteuse Youn Sun Nah, Vincent Peirani entre dans la famille du prestigieux label allemand ACT qui signe ce disque. Accompagné de Michaël Wollny et Michel Benita, il y dévoile toutes ses influences musicales et y mêle tant la joie, la tendresse, l'humour que le lyrisme. Parmi les titres, on retrouve ainsi quatre de ses compositions, mais également un titre de Brad Mehldau.
Une vraie réussite saluée par la critique et avec des guests parmi les fidèles de Peirani : Michel Portal et Emile Parisien.


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Mercredi 21 mai / 20h30

Loving Suite pour Birdy So




Elise CARONchant & flûte
Roberto NEGROpiano & direction
Federico CASAGRANDEguitare
Théo CECCALDIviolon
Valentin CECCALDIvioloncelle
Nicolas BIANCIcontrebasse
Xavier MACHAULTtextes


Entre musique improvisée, jazz et songwriting à la française, le jeune pianiste et compositeur Roberto Negro a créé la Loving Suite pour Birdy So en 2012 à l'Opéra de Lyon en réunissant son équipe rêvée, avec notamment la chanteuse Elise Caron.
La Loving Suite pour Birdy So est une invitation à l'amour. Celui qui s'écrit avec un petit a. Celui-là même qui, sans tambours ni trompettes, n'en dit pas trop, choisit ses mots, n'oublie pas de rêver nez en l'air à une fenêtre sans balcon, ne prétend pas autre chose qu'être là, pour de vrai.
La Loving Suite pour Birdy So, c'est une poésie sonore aux mots ronds comme caresses. Qui n'oublie pas les grincements de ces petits amours immenses, les ruptures minables pas même sur des quais de gare.
De la Loving Suite pour Birdy So, tous sortiront avec la douce sensation du coton.
C'est promis.

 
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Jeudi 22 mai / 20h30
Sylvie COURVOISIER
piano
Mark FELDMANviolon


Duo à la scène et à la vie, ces deux artistes se connaissent par cœur et ça se voit. Leur musique improvisée nous emmène dans des univers divers, notamment aux frontières du free jazz.

Ces deux musiciens se rencontrent en 1995 pour ne plus jamais se quitter.
Leur musique est l'expression d'une remarquable incarnation de l'équilibre entre écriture hyper sophistiquée et improvisation délicate et élégante.
Certains parlent même de télépathie entre eux...

 
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Vendredi 23 mai / 20h30Carla Bley Trio
Carla BLEYpiano
Steve SWALLOWbasse
Andy SHEPPARDsaxophone


Ex-punk rockeuse, compositrice autodidacte, pianiste d’exception en Big Band ou en solo, Carla Bley est une, inclassable, discrète et délicieusement fantaisiste, grande dame du jazz.
Ce trio complice formé avec Steve Swallow (son compagnon dans la vie) et Andy Sheppard joue ensemble depuis près de vingt ans.
L’événement de cette édition.
Trios est le premier album que Carla Bley, en compagnie de Steve Swallow et Andy Sheppard, enregistre directement pour ECM. Pour cette seconde collaboration avec le grand Manfred Eicher, ce dernier a choisi les morceaux, tous anciens mais revisités. Par exemple le célèbre “Les Trois Lagons” inspiré d’Henri Matisse est pour la première fois joué en trio. Est né un disque d’une humeur plus grave et plus nostalgique également.
Pour Télérama, “Carla Bley nous convie à une promenade sensuelle, en revisitant quelques unes de ses œuvres phares.

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Samedi 24 mai / 20h30
 Louis SCLAVISclarinette & saxophone
René BOTTLANGpiano


 La rencontre d’un des jazzmen les plus talentueux et originaux, avide de nouvelles aventures musicales et humaines, et d’un authentique poète du clavier au jeu généreux et fragile avec une pointe d’humour.
Un duo totalement inédit...


Pour le dernier concert du festival, nous invitons les spectateurs à assister à une rencontre inattendue.
Louis Sclavis, que l’on ne présente plus, et René Bottlang musicien à l’univers original et très poétique jouent pour la première fois ensemble.
Le talent, le brio et la surprise réunis : un concert en guise de cadeau ou comment finir en beauté le 19e Jazz in Arles...


Concert à Nîmes par le Jazz70

Le 23 MAI 2014
Milonga del angel
15€/18€
20h30

DMITRY BAEVSKY TRIO

Dmitry Baevsky (sax alto)
Kenji Rabson (contrebasse)
Esteve Pi (batterie)

Incontournable  saxophoniste alto de la scène jazz new-yorkaise, Dmitry Baevsky est originaire de Saint-Petersbourg en Russie. Il s'installe aux Etats Unis à l'âge de 19 ans en intégrant la New School University. Sa virtuosité lui vaut rapidement le respect des musiciens déjà établis et il enregistre un premier album qui le présente en compagnie des légendaires Cedar Walton et Jimmy Cobb ("Introducing Dmitry Baevsky", Lineage Records). Aujourd'hui signé par le label new-yorkais Sharp Nine, Dmitry a joué et/ou enregistré avec des musiciens tels que Peter Bernstein, Peter Washington, Cedar Walton, David Hazeltine, Jimmy Cobb, Joe Cohn, Willie Jones III, Dennis Irwin, Jeremy Pelt, Roger Kellaway... L'album "Down With It" est resté plus de quatre mois dans le jazzweek Chart, classement des 30 albums jazz les plus joués sur les radios nationales aux USA. ..
"Prononcer le nom de Dmitry Baevsky éveille la complicité immédiate de ceux qui connaissent le prodige du saxophone alto.  On découvre avec un bonheur halluciné ce Russe de St Petersbourg qui vit depuis une quinzaine d’années aux USA (…). Dmitry présente un style très personnel. Le prodige attaque les phrases des solos avec une invention déconcertante, développe des chorus cohérents, assène des tournures impressionnantes de classe." LIBERATION.fr

 

Pour reserver votre place, envoyer un mail avec votre nom, le nombre de places souhaitées et le tarif à : quentin.james@jazz70.fr 
ou via Fnac, Geant, Carrefour (frais de loc en +)

lundi 12 mai 2014

JAZZ ET CINEMA, en partenariat avec le cinéma UTOPIA de Montpellier le jeudi 15 mai à 20h00





 

A L’ÉCOUTE DES PIERRES

Un film de Guy LOCHARD et Edmond ZIMMERMANN France – 2013 - 1h04
Écrit par Philippe CARLES et Jean-Louis COMOLLI, raconté par Mathias BEYLER.
« Le seul endroit au monde où l’on peut aller acheter son pain en passant par la rue Ernst Reisjeger, la place Nicole Michell puis la place Philip Catherine, la rue Gérard Pansanel, la rue Didier Lockwod, la place Paolo Fresu et la rue Nils Petter Molvaer, c’est à Junas, cette commune du Gard qui a offert l’espace du village aux patronymes de musiciens du jazz d’aujourd’hui. (…) Tous ces musiciens ont, en 20 ans, noué des liens avec Junas. » (Culture Jazz)

« A l’écoute des pierres », le film de Guy Lochard et Edmond Zimmermann raconte ces notes qui habitent depuis 20 ans les Carrières de Junas. A Junas, le jazz que l’on y joue est fait de rencontres insolites. Comme celle de Paolo Fresu, parrain spirituel. Ou celles du retour aux sources de Stéphane Kochoyan et Gérard Pansanel. Avec l’émouvante évocation du regretté pianiste Siegfred Kessler, nombreux sont les sons et les images qui rappellent ces rencontres d’une nuit. Michel Portal se replonge dans l’esprit de fête cher à son enfance et digne de ses racines espagnoles. Daniel Humair .. révèle l’existence de sa « troisième oreille » : celle qui fait la différence… Et il y a encore ce regard. Le regard d’Archie Shepp chantant sa révolte. On y retrouve le jazz « indu » de Molvaer, la Gnawa music, Denis Fournier et les musiciens de Chicago, la main gauche d’Ahmad Jamal… le blues électrique de Magic Slim dont l‘une de ses ultimes apparitions sera Junas l’année dernière. Délicieuse enfin , la musique picturale apportée par les illustrations de l’aquarelliste Ton Van Meesche sonnant comme un accord parfait. A travers tous ces instants, une incroyable histoire du jazz s’écrit au fil des saisons. Et comme les auteurs, eux-mêmes bénévoles le rappellent « par ce film, la mémoire de Jazz à Junas est désormais elle aussi inscrite dans les pierres ». Florence Gioanni. (La Marseillaise-L’Hérault du jour)

 
Renseignements Cinéma Utopia
5 avenue du docteur Pezet
34 090 Montpellier
04.67.87.91.85.
Tramway : ligne 1 - arrêt St Eloi
Bus : ligne 22, la Ronde, la Navette - arrêt St Eloi
Voiture : suivre "Hopitaux-Facultés", puis "Université Paul Valéry"








samedi 10 mai 2014

Joe Wilder vient de nous quitter à l'âge de 92 ans

Photo
Joe Wilder performing at the Village Vanguard in 2006. Although Mr. Wilder spent decades as a sought-after sideman on trumpet, cornet and fluegelhorn, this was the first time he led a band on a New York stage. CreditRahav Segev for The New York Times
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Joe Wilder, a lyrical trumpeter who played with some of the biggest big bands in jazz and helped integrate Broadway, radio and television orchestras, died on Friday in Manhattan. He was 92.
His death was confirmed by his daughter Elin Wilder-Melcher.
Mr. Wilder, who played cornet and fluegelhorn as well as trumpet, lent his elegant tone to bands led by Lionel Hampton, Count Basie, Jimmie Lunceford and Benny Goodman. In 1962 he toured the Soviet Union with Goodman. He also worked, in concert and in the studio, with Billie Holiday, Harry Belafonte and many other singers.
A soft-spoken and stately man who never appeared in public without a tie, he developed a clear and even sound that reflected the years he spent studying classical performance as a young man. He aspired to a symphonic career but gravitated to jazz out of necessity.
“The opportunities for black musicians in the concert field were nil,” he said in an interview for the jazz archive of Hamilton College in 1996. His interest in classical music, he added, “inhibited my jazz playing a great deal” early in his career: “I was very stiff.”
Through the 1940s, Broadway was also off-limits to black musicians; few if any performed in the pit orchestras of musicals. It’s not clear who was the first, but Mr. Wilder was certainly one of the first — and even after he had crossed the color line he faced obstacles.
Fresh from stints with Lucky Millinder and Dizzy Gillespie, he was studying classical performance at the Manhattan School of Music and hoping to join the New York Philharmonic when he got a call to play in the band for the 1950 musical revue “Alive and Kicking.”
Shortly after that, he joined the “Guys and Dolls” pit band, which included two other black musicians, Benny Morton on trombone and Billy Kyle on piano. The three were accepted in New York, but when the show traveled to Washington it was a different story.
The pit band there consisted of local musicians as well as some key members of the New York ensemble. The producers had wanted the three black musicians to be part of the Washington band, but decided to keep Mr. Wilder and Mr. Morton out when the local musicians refused to play if they were in the horn section. (Mr. Kyle was allowed to be in the orchestra because, as a pianist, he did not sit with the other musicians.) Race was not an issue in 1955, when Cole Porter himself blessed Mr. Wilder’s choice as first trumpet in the orchestra for his show “Silk Stockings.” And race was rarely if ever an issue for Broadway pit bands after that.
Mr. Wilder played an equally important role, along with the bassist Milt Hinton and a few others, in integrating the studio bands of network radio and, later, television. Mr. Wilder, a member of the ABC ensemble from 1957 until the television networks did away with such bands in the 1970s, was heard on “The Voice of Firestone,” “The Dick Cavett Show” and other programs that used live music.
He later became a fixture in New York’s recording studios and on film soundtracks. In the 1980s he was in the pit band for the hit Broadway musical “42nd Street.”
Joseph Benjamin Wilder was born to Curtis and the former Augustine Brown Wilder on Feb. 22, 1922, in Colwyn, Pa., outside Philadelphia. He came from a family of musicians, and chose the trumpet over the bass, which both his father and his older brother, Curtis Jr., played professionally.
He was a regular on “Parisian Tailors’ Colored Kiddies of the Air,” a weekly Philadelphia radio show that featured young black musicians, backed by all-star big bands led by Duke Ellington, Louis Armstrong and other stars. The show was broadcast live on Sundays, when jazz bands were prevented by Pennsylvania law from playing in public. (Reflecting the de facto segregation in the music industry at the time, another Philadelphia radio show featured only young white musicians.)
Mr. Wilder attended Mastbaum Technical High School, which was known for its strong music program but, like most programs at the time, did not teach jazz. After graduation he joined Les Hite’s big band as the first trumpet in a section that also included Dizzy Gillespie.
He worked with Lionel Hampton before serving in the Marines for three years during World War II, and rejoined him in 1946 after his discharge. He went on to work with Gillespie and others before migrating first to Broadway and then to ABC in the 1950s.
Mr. Wilder lived in Manhattan. In addition to his daughter Elin, survivors include his wife, Solveig; two other daughters, Solveig Wilder and Inga-Kerstin Wilder; a son, Joseph Jr., from a previous marriage; and six grandchildren.
Mr. Wilder did eventually achieve his goal of performing in a classical ensemble. After returning to the Manhattan School of Music and belatedly earning a bachelor’s degree, he performed occasionally with the New York Philharmonic in the 1960s.
But he was content to be a sideman for most of his career. He released only a handful of albums as a leader, among them “Wilder ’n’ Wilder” (1956), “The Pretty Sound of Joe Wilder” (1959) and “Among Friends” (2003). A week at the Village Vanguard in 2006, timed to coincide with his 84th birthday, was his first New York engagement at the helm of his own group.
In 2008 Mr. Wilder was named a Jazz Master by the National Endowment for the Arts, the nation’s highest honor for a jazz musician.
Mr. Wilder was often called “the gentleman” by fellow musicians, who respected both his musicianship and his generous, self-effacing demeanor. “He was trustworthy and honorable, and he would never curse,” his fellow trumpeter Warren Vaché remembered. “I once offered to pay him to say ‘damn it,’ and he wouldn’t take the money.”

vendredi 9 mai 2014

Concert de jazz à Nîmes, le mardi 13 mai


Michael Bates & Samuel Blaser Quartet  
featuring Michael Blake & Jeremy ‘Bean’ Clemons

Samuel Blaser-trombone
Michael Blake-saxophone
Michael Bates-double bass
Jeremy ‘Bean’ Clemons-drums

Mardi 13 mai à 20h30
La Movida (la Placette) Nîmes 
12-10 € Gratuit –de 16 ans 
Rens. et Rés. : 06 07 65 12 16
                        06 51 36 53 27