lundi 26 janvier 2015

JEAN CABUT, DIT CABU (1938-2015)


JEAN CABUT, DIT CABU (1938-2015)

Le dessinateur Cabu vient d’être assassiné à Paris. Cabu aimait le jazz, passionnément.

Le dessinateur Cabu vient d’être assassiné à Paris. Il fait partie des douze victimes de l’attentat du 7 janvier contre la rédaction du magazine Charlie Hebdo, dont il était un des fondateurs, et un des piliers depuis des décennies. Cabu était caricaturiste, dessinateur ; il était connu et apprécié dans le monde du jazz.
It don’t mean a thing, if it ain’t got that swing.
Cabu aimait le jazz, passionnément. Il a dessiné des centaines de musiciens sur scène, dans les clubs, dans les festivals, dont il rapportait des reportages dessinés pour Hara-Kiri ou Charlie Hebdo. Il a également réalisé des pochettes de rééditions. Auteur de plusieurs livres sur sa vie et le jazz, il laisse un héritage et un souvenir précieux.
Toutes les chroniques des livres et disques de Cabu sont sur sa page d’auteur.
Citizen Jazz lui rend hommage pour ce travail de passionné et de reporter du jazz. Mais on retrouve dans ces dessins-là, ces textes-là, l’impertinence et l’humour avec lesquels il regardait le monde.

NIMES - Gard Le Vendredi 6 février à 21h00 SMAC - PALOMA , Club

Vendredi 6 Février


Les rendez-vous de Jazz à Junas à Paloma !

 
CONNIE and BLYDE
                     
Caroline Santis (chant), Bruno Ducret (violoncelle)

Jazz à Junas et la SMAC Paloma de Nîmes s'associent pour proposer une programmation jazz régulière au club en mettant en avant des musiciens régionaux ou nationaux avec des formes souvent intimistes. Ce premier rendez-vous sera l'occasion de découvrir un duo atypique, composé de Caroline Sentis  au chant et de Bruno Ducret au violoncelle, aux influences multiples telles que Björk, Nosfell, Ornette Coleman...
Connie and Blyde appréhende la chanson avec une âme de jazzmen. L'instrumentation très rudimentaire permet de partager un moment à fleur de peau presque charnel avec les musiciens.


VENDREDI 6 FEVRIER
SMAC PALOMA, NIMES
Tarifs : 12€ / 9€ en prévente
15€ / 12€ sur place
Tarif réduits pour adhérents de Jazz à Junas, chômeurs, étudiants, carte pass culture,
gratuit pour moins de 10 ans
Renseignements et préventes
www.paloma-nimes.fr
04 11 94 00 10

 
Billetterie en ligne :   


vendredi 23 janvier 2015

VERGEZE - Gard Le Jeudi 29 janvier à 18h00 Théâtre Municipal





PALOMAR TRIO
Sortie de résidence !!

Daniel Malavergne (tuba), Patrick Vaillant (mandoline), Frédéric Cavallin (batterie)

Pour le premier concert de l'année 2015 nous vous invitons à découvrir un trio qui sera en résidence du 25 au 29 janvier au théâtre de Vergèze et qui vous montrera l'avancé de ce nouveau projet Palomar.
Palomar est un power trio de série B.
Palomar aime l'exercice de mémoire : bal, passe-rue, fanfare, il en fait son puzzle. Palomar aime jouer sur les lieux communs, dans tous les sens du terme, les places publiques et les clichés :
Vous voyez un tuba, vous souriez fanfare !
Vous voyez le batteur prendre ses balais, vous chuchotez jazz !
Vous voyez une mandoline, vous rêvez gondole !
Palomar vous répond oui ! ...et mélangera vos cartes postales.
A vous d'imaginer autre chose, Palomar vous déprogramme, vous et le concert.
Palomar n'hésitera pas à le contaminer de palabre, de java, de sérénade, et d'imprévu.

Une résidence portée par  Jazz à Junas et le Collectif Jazz en L'R, soutenue par la Région, la DRAC et Réseau en Scène Languedoc-Roussillon. Avec le soutien de la Mairie de Vergèze.

Entrée libre
Renseignements au 04 66 80 30 27

www.jazzajunas.fr

mardi 20 janvier 2015

Quartet MIGRANTS à Nîmes le vendredi 30 janvier au restaurant La Table de Cana




Quartet « MIGRANTS »

Nous connaissons bien ici le contrebassiste Bernard Santacruz pour l’avoir reçu à plusieurs reprises aux côtés de musiciens de renom comme John Tchicai, Bobby Few, Rasul Siddik et récemment Ernest Dawkins ainsi qu’avec ses amis de longue date résidents dans la région.

Cette fois-ci, Le Jazz Est Là le reçoit avec le quartet dont il est l’initiateur. Et quel quartet ! Au saxophone alto Géraldine Laurent que notre public n’a certainement pas oubliée, ouvrant notre saison 2013 avec le trio « Looking for Parker » qui fut un grand succès. Au vibraphone Bernard Jean dont le jeu dynamique et subtil nous avait captivés lors d’un duo, exercice difficile, avec le pianiste René Bottlang en novembre 2010. A la batterie, Simon Goubert dont le jeu puissant fut remarqué en mai dernier lors du concert « Résurgence », formation du flûtiste Michel Edelin. Sans compter que les uns et les autres ont des collaborations diverses qui en font des acteurs essentiels de la scène actuelle de jazz. Le talent connu de chacun de ces musiciens est mis au service d’un jeu collectif très riche dans lequel le plaisir de jouer ensemble est manifeste.

 D’emblée, Le Jazz Est Là a porté grand intérêt à ce groupe. L’écoute de son concert à l’AJMI, l’an passé, nous a définitivement convaincu, si besoin était, de le proposer dès que possible. Après « Le Petit Faucheux » à Tours, « Le Cri du Port » Marseille, « Le Moulin à Jazz » Vitrolles….il manquait Nîmes !

Ce concert dont nous ne doutons aucunement du succès sera le 45ème de notre Association et il marquera le début de notre 7ème année d’existence. Il inaugurera par ailleurs notre collaboration avec un nouveau lieu : La Table de Cana (ville active / accès très facile) qui offrira l’ambiance jazz-club à laquelle nous sommes attachés et permettra au public de se restaurer auparavant dans le cadre de ce restaurant-bio que, nous l’espérons, vous apprécierez.

Si la jauge est plus importante, nous vous conseillons malgré tout de RESERVER :

lejazz.estla@laposte.net ou 04 66 64 10 25


PROCHAINS CONCERTS :
Samedi 28 février : « Percussions Profiles » Denis Fournier / Tom Gareil / JP Jullian
Vendredi 27 mars : « Désordre » Hélène Labarrière contrebasse / François Corneloup sax baryton
Hasse Poulsen guitare / Christophe Marguet batterie

Le Jazz Est Là http://jazzestla.blogspot.com



dimanche 18 janvier 2015

Jazz Musicians Memorialize Charlie Haden



Photo
Ravi Coltrane and Brandee Younger were among those who performed at the Charlie Haden memorial at Town Hall. CreditJacob Blickenstaff
Continue reading the main storyShare This Page
“Charlie didn’t have sarcasm or irony,” the bassist Putter Smith said at Charlie Haden’s memorial concert at Town Hall on Tuesday. “He had true empathy.”
Empathy is a word heard a lot around jazz musicians, sometimes to the point of cliché. It is understood as a useful background principle. Ideally, improvisers on a bandstand — and many of the greatest ones alive were onstage or in the audience on Tuesday — are making real-time exchanges, and not for a fixed result. In the best cases, they’re trying to extend a communal action beyond what they think they know. If they’re in it for private, short-game reasons, the audience hears it, and the music goes nowhere.
But in the sound of the bassist Charlie Haden, who died on July 11 at 76, empathy wasn’t a background principle but out front, almost the thing itself. You don’t need to know anything about jazz to hear it in his playing with Ornette Coleman or Keith Jarrett or Pat Metheny, or on any of his own records — “Liberation Music Orchestra,” “The Ballad of the Fallen,” “Nocturne,” or his 1990s records with Quartet West, his late-period Los Angeles band. He zeroed in on what he heard around him, keeping inside the tonal center from moment to moment and tracing a natural sort of song around it. His playing was warm, affirmative and profound, the opposite of perfunctory.
Photo
Charlie Haden’s children — from left, Petra, Rachel, Josh and Tanya — sang at the memorial for their father at Town Hall, accompanied by Mark Fain on bass and Bill Frisell on guitar.CreditJacob Blickenstaff
So we know how empathy works, more or less, in music and otherwise. But the saxophonist Joshua Redman took the idea a half-step further, speaking to the full house after a short set with the pianist Kenny Barron, the bassist Scott Colley and the drummer Jack DeJohnette.
Mr. Redman is the son of Dewey Redman, the great saxophonist who played with Mr. Haden in many different circumstances. Mr. Redman didn’t really know his father growing up, he explained, but listened to him on record with great interest. Of those he liked most, all included Mr. Haden. “Charlie brought out the love in my father’s playing, a warmth, tenderness and honesty that few others brought out to the same degree,” he said. “In a strange way, Charlie helped me to love my father.”
Wow. But empathy doesn’t make you perfect. His widow, Ruth Cameron Haden, who organized the three-hour-plus evening, intimated as much. Pat Metheny, after playing few of Mr. Haden’s songs on acoustic guitar, explained that he was 19 when he first met Mr. Haden, then in his late 30s, in 1974. “But he wasn’t a father figure,” he stressed. “Because I felt like the older and more responsible one.” Mr. Haden grew up in a Midwestern musical family playing what was then called hillbilly music, yodeling on the radio from the age of 2, later playing bass and singing until he contracted polio in his teens. He was precocious, then ambitious and needy; drug addiction complicated a long stretch of his life.
A lot of speakers imitated his typical greeting: “Hey, man,” in a wheedling hipster voice, usually followed by a demand. To his lawyer, Fred Ansis, it was “Hey man: any bread?” Mr. Ansis told that story, then fixed the audience with a level stare. “That’s thousands of times.” Ornette Coleman, now 84, couldn’t be there — he wasn’t feeling well — but deputized his son Denardo, the drummer, to testify on his behalf. Mr. Coleman characterized Mr. Haden this way: “He was always on a mission to lift you up. When you leave him you’re gonna be smiling. He was persistent — meaning, you’re gonna hear from him three or four times a day — but every time you do, you’re gonna be smiling.”
The pianist Brad Mehldau and the saxophonist Lee Konitz performed a quiet and wandering blues duet in Mr. Haden’s honor; Mr. Konitz, sounding free as a bird, spent half his time singing wordlessly. There were various other kinds of musical eulogies: Gonzalo Rubalcaba’s chillingly focused, profoundly slow solo-piano piece; the 12-member Liberation Music Orchestra, with Carla Bley as pianist and director, playing “Amazing Grace” and “We Shall Overcome” as resilience anthems; and the pianist Henry Butler, who played and sang “Deep River” in an operatic baritone; Mr. Haden’s four children — Petra, Rachel, Tanya and Josh — harmonizing on Bill Monroe’s “Voice From on High” with the guitarist Bill Frisell.
Another theme of the night was a quality found in many of the most empathetic: Mr. Haden loved humor but had little talent for it. The saxophonist Ravi Coltrane, after playing Mr. Haden’s “For Turiya” with the pianist Geri Allen and the harpist Brandee Younger, told a joke Mr. Haden had told him — a duck walks into a bar. (That’s all you need to know.) The comedian Richard Lewis, on video, after praising him highly as a friend and musician, pleaded with him directly. “Play jazz in heaven,” he said. “But don’t tell God any jokes.”

COMPAGNIE IMPéRIAL 4 soirées Au Cratère Alès







COMPAGNIE IMPéRIAL

DURÉE: 1H20 ENVIRON - 100 PLACES NON NUMEROTÉES -
TARIF: TARIFS D (HORS LES MURS)OU C (AU CRATÈRE) ET 5€ LE CONCERT SUPPLÉMENTAIRE. - LOCATION À PARTIR DU 05 DÉCEMBRE

INFOS PRATIQUES : 
Impérial Orphéon

  - Cendras : Jeudi 15 janvier - 20h30 (salle polyvalente)
- Salindres : Vendredi 16 janvier - 20h30 (salle Becmil)
- Saint-Germain-de-Calberte : Samedi 17 janvier - 20h30 (Salle Polyvalente)
Tarif D : (11€ - 10€ - 8€ - 6€) - 100 places non numérotées


Carte blanche à la compagnie Impérial
- lundi 19 janvier à 19h, Impérial Quartet
- mardi 20 janvier à 20h30, 1ère partie : solo contrebasse, 2nde partie : Impérial Orphéon invite éloise Sauvage
- mercredi 21 janvier à 20h30, Impérial Quartet + Impérial Orphéon
- jeudi 22 janvier à 19h, 1ère partie dans le Hall avec la classe CHAM du Collège Diderot d’Alès - 2nde partie : Impérial Pulsar
  Tarif C : (14€ - 12€ - 10€ - 9€) et 5€ le spectacle supplémentaire - 188 places non numérotées (Salle d'à côté)

RÉMY POULAKIS : ACCORDÉON, CHANT - GÉRALD CHEVILLON : SAXOPHONES BASSE, TÉNOR, SOPRANO - DAMIEN SABATIER : SAXOPHONES BARYTON, ALTO, SOPRANINO - ANTONIN LEYMARIE : BATTERIE, OBJETS, PERCUSSIONS. 

La Compagnie Impérial est un collectif de jeunes musiciens inventifs, virtuoses, généreux et à l’énergie débordante qui se décline en trois identités : l’Orphéon, le Quartet et le Pulsar. Trois identités, trois répertoires très différents. Artistes associés au Cratère, les membres de la Compagnie Impérial nous offrent cette année la possibilité de les découvrir sous toutes leurs formes !

L’Impérial Orphéon En 2013 déjà, il était venu mettre le feu dans quelques villages, de St-Ambroix au Pont du Gard, en passant par St Julien les Rosiers, Bagnol sur Cèze et Chamborigaud. Composé de deux souffleurs très puissants, d’un batteur d’une grande finesse et d’un incroyable accordéoniste qui régulièrement, fait vibrer les murs de l’Opéra de Lyon avec sa magnifique voix de ténor. L’Orphéon peut ainsi, pour le plus grand plaisir des spectateurs, passer des chants rossiniensdes choros brésiliens, des thèmes bulgares endiablés, à ce jazz ouvert sur l’improvisation, sensible, poétique, constituant un véritable outil de décrassage et d’ouverture des oreilles.   L’Impérial Quartet Vous prenez l’Orphéon, vous changez l’accordéoniste pour un contrebassiste, vous obtenez le Quartet ! Le quartet est la réunion de quatre musiciens improvisateurs complices depuis de nombreuses années. Autour d’une rythmique souple, généreuse, solide et toujours en alerte, le groupe s’appuie sur l’indéniable connivence qui unit les saxophonistes depuis plus de quinze ans. Le moteur essentiel du Quartet reste cette envie irrépressible de communication, que ce soit dans l’échange entre musiciens ou dans le partage avec le public. L’énergie époustouflante des musiciens, leur générosité et leur complicité nous font traverser, à tombeau ouvert, leurs paysages sauvages, où l’énergie rock souffle sur les braises ardentes de musiques traditionnelles et modernes, sans aucune frontière.   L’Impérial PulsarCette fois-ci, vous prenez le Quartet, vous ajoutez rythmique et percus mandingue, riches de 2 000 ans d’histoire, vous obtenez le Pulsar ! En collaborant avec ces musiciens malien et burkinabé, le Quartet se crée un nouveau terrain de jeu en explorant deux systèmes rythmiques différents. Sur la base même de la pulsation, il invente un langage commun basé sur le respect et l’écoute mutuelle. L’énergie déjà époustouflante du Quartet se retrouve démultipliée pour le plus grand plaisir des spectateurs qui frôlent la transe.

vendredi 16 janvier 2015

Daniel Zimmermann Quartet le vendredi 23 janvier à Nîmes

A noter que le Vendredi 23 Janvier est un double rendez-vous puisque nous avons la chance de recevoir à la Milonga Del Angel, Daniel Zimmermann (Tromboniste Nommé dans les révélations de l'année 2014 des Victoires du Jazz) accompagné d'un line up exceptionnel : Julien Charlet (Batterie), Maxime Fougères (Guitare) et Jérôme Regard (Contrebasse).
(Infos et réservations sur www.jazz70.fr)


samedi 10 janvier 2015

nous sommes Charlie - 7 janvier 2015 place de la République par samuel Thiebaut




J’ai le vertige, comme des millions d’autres, depuis mercredi dernier. Et besoin de fraternité, de solidarité. La place de la république était belle le 7 janvier au soir. Sans voix mais belle. Elle était ce sol commun à tous ceux qui ont vu le sol se dérober sous leurs pieds. Etre là, comme dans toutes les villes du monde où d’autres se sont réunis spontanément, c’était un mouvement nécessaire du cœur, une sorte de rendez-vous avec notre propre humanité. 
J’ai voulu garder une trace de ce rassemblement qu’aucun parti n’a eu le temps d’instrumentaliser. J’étais ce jour là avec Ibrahim Maalouf, Stéphane Galland, François Delporte et Eric Legnini. Quand je leur ai dit que j’irais faire des images à République, ils m’ont proposé d’enregistrer quelque chose, composition instantanée, que je pourrais synchroniser avec mes images. Comme ils avaient des trains à prendre le soir même, c’était pour eux, je crois un peu une manière d’être là, avec les orphelins de Charlie Hebdo, près de la monumentale Marianne.
La musique de la vidéo publiée ici est la première prise de ce morceau, mixé au début et à la fin avec des minutes de silence. Le son d’une minute de silence de 30 000 personnes le 7 janvier 2015 place de la République.
Il nous reste un peu moins de 360 jours pour faire de 2015 une année vivable. 

lundi 5 janvier 2015

Le jazzman Ivan Jullien est mort


Le Monde.fr |  • Mis à jour le 
Abonnez-vous
à partir de 1 €
 Réagir Classer
Partager   google + linkedin pinterest
Coffret de CD publié par Universal Jazz France en 2102 regroupant les trois albums enregistrés par Ivan Jullien entre 1966 et 1971.

Le trompettiste et compositeur français Ivan Jullien est mort le 3 janvier, selon son entourage qui a fait circuler l'information. Il avait 80 ans. Il commence comme trompettiste dans les années 50 pour devenir ensuite l'un des plus grands arrangeurs français, il travaille avec des artistes français et étrangers comme Claude Nougaro, Charles Aznavour, Elton John, Henri Salvador et de très nombreux autres.

Il arrange plusieurs bandes originales de films comme « Une homme et une femme », « Le soleil des voyoux » et en compose d'autres, comme celles de « Ronde de nuit » et « Tir groupé ».
Pendant de nombreuses années, il anime aussi une classe d'arrangement au CIM. Il a co-écrit le « Traité de l'arrangement » en huit volumes, qui traite notamment de musique classique mais aussi de jazz, de musique contemporaine et de films. 
Il monte plusieurs grands orchestres de jazz depuis les années 60 (notamment le Paris Jazz All Stars) et en 2009, se met à nouveau à la tête d'une formation
En 20003, les Victoires de la musique le récompensent pour l'ensemble de son œuvre. Puis en 2009, il reçoit le Grand prix Sacem du jazz.


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/culture/article/2015/01/04/le-jazzman-ivan-jullien-est-mort_4548955_3246.html#2fML5ymClcCoTZSs.99