lundi 30 septembre 2013

Gabrielle Koehlhoefer sur Citizen Jazz par Michel Arcens

Article écrit par Michel Arcens sur la jolie contrebassiste Gabrielle Koehlhoefer.
Elle jouait avec le Quintet de Joëlle Allouche le mercredi soir 17 juillet  sur scène à Junas pendant le grand Festival de 2013

Gabrielle Koehlhoeffer, auto-portrait

Les résonances premières d’une contrebasse enchantée…
Elle a vingt-quatre ans. Le sourire sérieux, les yeux qui observent le monde avec attention.Gabrielle Koehlhoeffer – appelons-la, pour le moment, « Gabrielle K. » - est contrebassiste. Elle jouait cet été au festival de Radio France et Montpellier-Languedoc-Roussillon avec Joël Alloucheet Airelle Besson. Et un peu plus tard, avec le même batteur, dans le trio du pianiste Jean-Pierre Mas de retour dans sa Catalogne natale. C’était au pied des Albères, à Saint-Génis des Fontaines. Vous entendez cette jeune femme jouer avec une sorte de passion contenue mais soutenue, et vous vous dites aussitôt : « Quelle magnifique musicienne ! D’où vient cette magie ? D’où vient Gabrielle K ? » Elle le raconte elle-même, avec des mots à l’image de ses notes : simples, clairs, mais uniques, personnels.
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Gabrielle Koehlhoeffer © Frank Bigotte
lire la suite: http://www.citizenjazz.com/Gabrielle-Koehlhoeffer-auto.html

Article écrit par Michel Arcens sur Citizen Jazz publié le 30 septembre 2013

jeudi 26 septembre 2013

Deux concerts par le fameux Cafarnal Tribu





concert au lavoir du puits Couchoux

le 5 octobre 2013

Michel Bachevalier de 20 h à 22 h

PAF 8€ / 10€

LE TRIO D’ARROSAGE
Pierre PEYRAS : Contrebasse et tuba.
Michel BACHEVALIER : Batterie de percussions.
François TIOLLIER : Saxes

Jazz Méridional

Ces trois artistes dont la forme d’expression de prédilection est le jazz concrétisent leur réflexion en participant dans la démarche « cafarnalesque » à l’expression originale d’une recherche artistique puisant dans la vie de tous les jours l’essence du voyage et de l‘imaginaire. Le trio, créé au cours de l’hiver 2003 dans le cadre des soirées « la beauté de l’éphémère » à Nîmes, conforte une direction, une dimension très picturale, par sa forme orchestrale dénuée d’instrument harmonique. Une musique très mélodico-rythmique.

«… Cette musique sent bon le Sud, la garrigue, l’apéro du soir.

Le soleil se couche sur une guinguette nichée sur les hauteurs de Nîmes. C’est là que le batteur percussionniste Michel Bachevalier et sa drôle de tribu de cafarnaliens ont élu domicile. Ici, l’amitié n’est pas un vain mot : on sait dialoguer, vivre l’instant présent, jouer avec simplicité et complicité…

Le trio d’arrosage mérite que l’on s’y attarde…. Qu’elle prenne source chez Paquito D’Rivera, Dexter Gordon, Art Pepper, dans des airs traditionnels ibériques (La Pasionaria que l’on est heureux de retrouver ici) ou dans d’efficaces compositions originales, la musique du trio n’est jamais ennuyeuse. Tantôt profonde et habitée (A pas de Jules), tantôt festive et enjouée (No Problemo, L’apéro), elle arpente de vastes horizons, gambadant désormais joyeusement dans nos mémoires. A consommer sans modération… »
Luc Bouquet, Chronique Jazz Break

CD: «Brut de Décoffrage»

Cet album, totalement dénué d’instruments harmoniques tels la guitare ou le piano, a un son très engagé, un son brut, du groove, des interjections mélodiques, des solos , des duos et bien sur du trio. C’est une union des timbres de ces fabuleux instruments que sont la batterie de percussions, les saxophones, la contrebasse et le tuba





Concert au lavoir du puits Couchoux
le 4 octobre 2013
Michel Bachevalier de 20 h à 22 h

PAF 8€ / 10€

DUO : MAQUET-BACHEVALIER «La Péla e lo Calamèu »
Henri MAQUET : chant provençal, galoubet, fifre, pipeaux, chalumeaux...
Michel BACHEVALIER : berimbaù, bachas, tambourins...


Description, en quelques mots
Leur travail en duo a permis une introspection minimaliste et intimiste, mais leurs énergies jumelées ont donné un cocktail explosif "musique trad - contemporaine". Les sons des flûtes en roseaux avec les multitudes de percussions sont les ingrédients de base, d'où le nom "La péla è lo calamèu". Henri et Michel se sont rencontré au sein du collectif "Cafarnal Tribu", l'un venant de la musique traditionnelle et ayant envie de "jazzer" et l'autre venant du jazz et de la musique improvisée, et ayant besoin de "racines". La discussion musicale a commencé, et n'est pas prête de s'arrêter...

Henri Maquet est un pluri instrumentiste qui joue du violon, de diverses flûtes, du guitaron, des instruments à vent et qui chante en Occitan-Provençal.Il est également luthier, il recrée les instruments et les formes autrefois utilisés dans nos régions, comme le Galoubet, flûte emblématique de la musique de Provence, les Pipeaux, les flûtes à bec, le Fîfre, la flûte traversière, les Chalumeaux, les clarinettes primitives, les Hautbois.

Michel Bachevalier, percussionniste compositeur, joue dans ce contexte d'instruments rudimentaires tels que le Berimbaù du brésil, le Bacchas d'Occitanie, les Tambourins communs à de nombreuses traditions...

Démo disponible + lien sur site www.cafarnaltribu.com rubrique «les groupes»

Également : http://www.myspace.com/duomaquetbachevalier

Le répertoire oscille entre airs traditionnels et improvisations.On y découvre les timbres et les sonorités originales et envoûtantes du roseau, la rythmicité des grillons de garrigue...

L’édition de ce duo est le fruit d’une collaboration entre « Cafarnal Tribu » à Nîmes, ainsi que « Ventadis » & « Tapenade » en Arles.

CafarnalTribu 2010
Collectif artistique de réflexions culturelle et d’actions Les musiques ethniques /jazz du grand sud
Tél : 04 66 68 09 17 www.cafarnaltribu.com cafarnal@cafarnaltribu.com
Siret : 478 376 932 00024 – NAF :9001Z - Licence d’entrepreneur du spectacle : 2-1003854 TVA intracommunautaire : FR94 448 376 932

lundi 23 septembre 2013

Michel Laborde , photographe à Junas 2013

Michel Laborde vient de mettre toute une série des photos du Festival 2013 sur Citizen Jazz
A savourer !!

http://www.citizenjazz.com/Jazz-a-Junas-2013-3469115.html



jeudi 19 septembre 2013

Ils étaient à Junas!

Vu sur Citizen Jazz

REIJSEGER - SYLLA - FRAANJE
CYCLE «VOIX DU MONDE ET MUSIQUES IMPROVISÉES»
EN COPRODUCTION AVEC L’OPÉRA DE REIMS
REIJSEGER - SYLLA - FRAANJE
MERCREDI 09 OCT. 20H / THÉÂTRE DU CHEMIN VERT - REIMS 

Le sénégalais Mola Sylla a rencontré le hollandais Ernst Reijseger lors de ses concerts à Amsterdam avec son groupe Senemali fin des années 80. C’est le point de départ d’une très belle collaboration musicale en duo.

En 2007, le pianiste hollandais Harmen Fraanje les invite pour un concert en trio : une révélation, un trio était né. Chaque musicien contribue à l’aventure en apportant des compositions originales. Leurs différentes expériences et leur vocabulaire personnel se connectent naturellement, comme par magie.

Reijseger, Fraanje et Sylla ont appris à se connaitre au cours de ces années et ont multiplié les expériences : concerts en trio évidemment, mais aussi les bandes originales des films de Werner Herzog «My Son My Son What Have Ye Done» et «Cave of Forgotten Dreams». Jouer ensemble est devenu addictif.

www.reijsegerfraanjesylla.com
Ernst Reijseger violoncelle / Harmen Fraanje piano / Mola Sylla voix, m’bira, xalam, kongoma
LA PRESSE EN PARLE

mercredi 18 septembre 2013

Le Jazz est là: de retour à Nîmes le 27 septembre




« Looking for Parker »
Christophe Marguet Géraldine Laurent Manu Codjia
Batterie Sax Alto Guitare

Le vendredi 27 septembre à 21.00 à l'Ever'in Cafe, place Séverine Nîmes

Le Jazz Est Là reprend sa série de soirées Jazz-Club avec trois artistes marquants de l’actuelle scène de jazz. Nous avions reçu Géraldine Laurent en 2011 pour notre plus grand plaisir. Son jeu d’une grande technicité au service d’improvisations toujours très inventives avait marqué le public qui, a plusieurs reprises, a manifesté le souhait d’une nouvelle invitation. Ce trio avec Christophe Marguetet Manu Codjia, complices plus de dix ans dans les formations d’Henri Texier était l’occasion rêvée.
Suite à une rencontre impromptue pour une session, initiée par Christophe Marguet, les trois solistes se retrouvent autour du répertoire de Charlie Parker. Le projet se concrétise à travers une série de concerts qui aboutissent à la sortie de l’album « Looking for Parker » (en avril 2013) salué comme « petit bijou » par la critique. Le trio, d’une géométrie inédite, se réapproprie avec un son bien à lui grâce à la sonorité très personnelle de chacun, les compositions de Parker d’une complexité mélodique stupéfiante (Red Cross, Billie’s Bounce…) et ses thèmes favoris (April in Paris, Night in Tunisia…). Les trois solistes de haut vol ne tombent pas dans le piège : ils ne jouent pas Charlie « par cœur », mais « avec cœur », jouant de façon libre et pleine d’émotion, inspirés par la démarche du génie Bird (diminution de son surnom de jeunesse Yardbird, « ce surnom commençait à le désigner, en raison de sa gourmandise pour le poulet » Ross Russell « Bird » 1980),tout en rendant hommage à celui qui marqua l’histoire du jazz, un des acteurs essentiel de la révolution bebop, malgré une carrière qui fut, on le sait, éphémère.

« Ces réinventions ruissellent de fraîcheur, d’originalité, d’enthousiasme, de culot et de poésie. Chapeau et 10000 mercis ! » Claude Carrière

Concert de rentrée, unique dans le sud, à ne pas manquer !

Réservation conseillée ! lejazz.estla@laposte.net / 04 66 64 10 25

 Les prix: 17€/13€ adhérents. /8€-25ans/gratuit-16ans


Prochains RdV : octobre : apéro jazz (date à préciser) / concerts 15 Novembre  et 6 Décembre.


dimanche 15 septembre 2013

Lee Tanner, photographe de jazz vient de nous quitter à l'âge de 82 ans



Lee Tanner; his lens captured pulse, personalities of jazz



Lee Tanner’s images bring to life Boston’s jazz clubs from the 1960s.
Lee Tanner’s images bring to life Boston’s jazz clubs from the 1960s.

As a boy in the late 1930s, living with his mother and two aunts in Roxbury, Lee Tanner heard the music and musicians he would bring into focus with his camera a quarter century later.
“I first tuned into jazz by a chance twist of the radio dial,” he wrote in the introduction to “Images of Jazz,” a 1996 collection of his photographs.
Camera in hand, Mr. Tanner spent nights in the 1960s photographing musicians at a variety of Boston venues, some famous and some now fading from the memories of all but the most faithful fans. Chet Baker, movie-star handsome, holds his trumpet at The Jazz Workshop in a 1966 photo. Thelonious Monk’s hands address the piano keys in a series of four close-up shots in the WGBH-TV studios in 1968. Miles Davis plays a muted trumpet at Symphony Hall the same year.
“I go for the spontaneity of the moment,” Mr. Tanner told the Globe in 1996. “What I’m looking for is the drama, and whether it’s excitement or repose really depends on what shows up. Nothing in the book is a posed studio picture. Even the pictures that look posed were just caught at the moment.”
Mr. Tanner, a metallurgist and scientist who had worked in laboratories from Boston to California, died of complications from Alzheimer’s disease Saturday in Mark Twain Convalescent Hospital in San Andres, Calif. He was 82 and lived in Sonora, Calif.
Miles Davis, Symphony Hall 1968
LEE TANNER, COURTESY OF LISA TANNER
Miles Davis, Symphony Hall 1968
“In all of his photographs, Lee Tanner makes vivid the sheer energy of jazz — the life force,” critic and columnist Nat Hentoff wrote in the introduction to “Images of Jazz,” adding that “Tanner’s gift is knowing the moment at which the musician tells his own story — and not only in notes.”
Mr. Tanner’s time in Boston was comparatively brief: several years during childhood in the 1930s and early ’40s and slightly more than a dozen years as an adult, mostly in the 1960s. The photographs he shot, though, enshrined musicians and venues that were part of Boston’s jazz history.
For a couple of years in the 1960s, WGBH-TV ran a live show simply called “Jazz,” which evolved into “Mixed Bag,” a roster of musicians as eclectic as the name suggests. Mr. Tanner coproduced “Mixed Bag” for two years with David Atwood, who also directed the show and is now an independent producer and director.
Mr. Tanner had forged relationships with musicians while rubbing shoulders with them in clubs. “I could literally get on top of the musicians to photograph them,” he told the Globe. That intimacy helped him coax many musicians into the TV studio.
Duke Ellington, Newport Jazz Festival 1962
LEE TANNER, COURTESY OF LISA TANNER
Duke Ellington, Newport Jazz Festival 1962
“Lee, because of his photography, knew these groups and went after them to get them on the show,” Atwood recalled. “Lee was great. He was wonderful with the groups. He was wonderful to work with.”
“Mixed Bag” went off the air after two years, a victim of low ratings, but Mr. Tanner kept shooting. At WGBH, the studio lights afforded him the opportunity to add nuance to the shadows falling on the musicians. In clubs, advancements in film quality allowed his camera, without a flashbulb, to capture images that could not have been shot a couple of decades earlier.
“For me, available-light photography was preferable to that of using auxiliary lighting sources,” he told Jerry Jazz Musician in a 2002 interview posted online.
Ambient light “brought life to the images,” Mr. Tanner said, and “the movement and slightly out-of-focus, grainy quality all added to the emotional impact of the work.” He added that “when a musician really got into something special, I was often able to capture it. That is what brought great pleasure to the work. It essentially was an improvisation in the visual that went along with the improvisation of the music.”
Born in New York City, Mr. Tanner was the only child of Vladimir Chenkoff and Enid Tanner. His mother was a milliner and his father was an artist who created posters for the movies of directors Charlie Chaplin, John Ford, and Howard Hawkes. They divorced when Mr. Tanner was young and he moved with his mother to Boston.
“My exposure to live jazz was at the downtown RKO Boston theater,” he wrote in the “Images of Jazz” introduction. “I would pack a lunch so that I could spend the whole day there, watching show after show with delight.”
A job at Lord & Taylor took mother and son back to New York, where Mr. Tanner graduated from Stuyvesant High School and from New York University with a bachelor’s degree in engineering. He spent two years doing research in the US Army and graduated with a master’s in metallurgy and materials science from the University of Pennsylvania in 1958. Jobs took him to Chicago and to Boston, “where the jazz scene was bustling,” he wrote.
There was Connolly’s Stardust Room in Roxbury, and The Jazz Workshop and Paul’s Mall on Boylston Street. Jazz even found its way into the Combat Zone. “There was a sudden clampdown for a period in 1963 on all of the strip joints,” he recalled in the 1996 Globe interview. “For about six months, the clubs had jazz bands alternating with strippers who didn’t really strip. . . . When I came in with my camera the first time, I remember them telling me ‘You can’t take pictures of the girls.’ ”
“I look at photographs he shot with this Mamiya twin lens reflex, and you figure, he was hand-holding this in these dark clubs,” said his daughter Lisa Tanner, a photographer in Los Angeles. “It’s pretty amazing he got the shots he did.”
Mr. Tanner’s first marriage, to Lucia Stone, ended in divorce.
In the early 1970s, his scientific work took him to laboratories in California, where he lived the rest of his life.
In addition to his daughter, he leaves his wife, Linda Brandt Boam Tanner; another daughter, Dina Hausman of Trumbull, Conn.; and a granddaughter, along with stepchildren and step-grandchildren.
In 2010, the Los Angeles-based Lucie Foundation, which celebrates achievement in photography, honored Mr. Tanner fordocumentary photography.
Down Beat magazine began publishing his work in 1958. His photos also appeared in publications such as Rolling Stone, American Photo, and Popular Photography, along with the jackets for record albums and CDs.
Mr. Tanner published three additional books: “Dizzy,” in 1994, which marked the 75th year of trumpeter and composer John Birks Gillespie; “Images of the Blues” in 1998; and “The Jazz Image: Masters of Jazz Photography,” in 2006.
“First and foremost he was a fan of the music, and that’s why I think he gravitated toward photography,” his daughter Lisa said. “He loved jazz photography.”

jeudi 12 septembre 2013

Fred Katz vient de nous quitter


http://youtu.be/maKu4rtPvcU

Fred Katz, cello,  Jim Hall, guitare et Carson Smith contrabasse

Fred Katz, Who Married Cello to Jazz, Dies at 94

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Fred Katz, a classically trained cellist who quite by accident helped elevate his instrument to unlikely stardom in jazz, died on Saturday in Santa Monica, Calif. He was 94.
Mitch Maher
Fred Katz's classical training was a foundation but not a limitation for a far-reaching career as a cellist, pianist and composer.
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Arts & Entertainment Guide
A sortable calendar of noteworthy cultural events in the New York region, selected by Times critics.
Fresh Sound Records
One of Mr. Katz's albums.

His son, Hyman, confirmed the death.
Mr. Katz, best known for his long association with the Chico Hamilton Quintet, was also a pianist who accompanied Lena Horne, a composer who wrote songs for Frankie Laine and film scores for Roger Corman, an arranger who worked with Carmen McRae, and a retired professor of anthropology.
In the mid-1950s, when Mr. Hamilton, a drummer, founded his quintet, the cello was a marginal figure in the jazz world. A few jazz bassists, like Oscar Pettiford, sometimes doubled on cello, typically plucking its strings (a technique known as pizzicato), just as they did on the bass.
But jazz had been home to few if any musicians who were cellists first — and who, as often as not, played the instrument using the bow, much as they would in classical music.
Mr. Katz joined the Hamilton quintet primarily as a pianist, playing the cello only on ballads. Between sets, he often took his cello and sat onstage alone, playing a classical work like an unaccompanied Bach suite.
One night, playing between sets at a small club in Long Beach, Calif., Mr. Katz, his eyes closed in reverie, did not realize that his bandmates had crept back onstage. The stage was tiny and crowded, and by the time the band swung into an up-tempo number and he realized what had happened, he could no longer get to the piano.
So he stayed where he was, cello in hand, and played along — and with that the group had its new sound, and went on to become one of the most popular in jazz.
Frederick Katz was born on Feb. 25, 1919, in Brooklyn and reared in the Williamsburg section there. A prodigy on both the cello and the piano, he was performing in public by the time he was a teenager. As a young man he was a cello student of Pablo Casals and a member of the National Symphony Orchestra.
But Mr. Katz found himself attracted increasingly to the jazz he had heard in the Manhattan nightclubs he had haunted as a youth. A Communist as a young man — for him, art, spirituality and progressive politics formed a seamless, imperative whole — he was also deeply drawn to folk music.
“The Communist Party in those days, we used to do hootenannies,” he said in a 2007 interview with “All Things Considered” on NPR. “And that was part of the radical movement, to bring back American folk poetry. We really were terrific that way.”
During World War II, Mr. Katz was an entertainment director with the Seventh Army in Germany, conducting concerts and writing arrangements for musical revues. Afterward he moved to the West Coast and turned his attention to popular music.
As a pianist, Mr. Katz accompanied Horne and Vic Damone. As an arranger and conductor, he was responsible for McRae’s 1958 album, “Carmen for Cool Ones.” As a composer, he wrote several songs sung by Laine, including “Satan Wears a Satin Gown,”written with Laine and with Jacques Wilson.
He wrote music for a slew of Mr. Corman’s sanguinary low-budget films, including “The Wasp Woman” (1959), “A Bucket of Blood” (1959) and “The Little Shop of Horrors” (1960).
“I hated every picture that Corman did, but you’ve got to be a professional about this,” Mr. Katz said in a 2008 interview.
Mr. Katz’s great facility on the cello, combined with its capacious range of tone and pitch (its lowest note is two octaves below middle C, its highest more than two octaves above it), made his cello a singular sonic addition to the Chico Hamilton Quintet.
The quintet appeared in the movies “Sweet Smell of Success” (1957), with Burt Lancaster and Tony Curtis, and “Jazz on a Summer’s Day” (1960), Bert Stern’s documentary about the Newport Jazz Festival.
An autodidact who left high school before graduating, Mr. Katz held faculty appointments at California State University, Northridge, and Cal State, Fullerton, teaching world music, anthropology and religion. He was a longtime Fullerton resident.
His albums as an orchestrator and conductor include “Folk Songs for Far Out Folk,” originally recorded in 1958. Rereleased in 2007 to wide attention, it features his adaptations of American, African and Hebraic folk music.
His recordings as a cellist include “Soul-o Cello” (1957) and “Fred Katz and His Jammers” (1958).
Mr. Katz’s wife, the former Lillian Drucker, whom he married in 1941, died in 1992; a daughter, Joyce Katz, also died before him. Besides his son, Mr. Katz’s survivors include a daughter, Marian Scatliffe, and five grandchildren.
Though he became renowned as a jazz improviser, Mr. Katz said he found it difficult at first to unlearn the classical approach in which he had long been steeped.
“You are so used to playing along, reading from the printed page,” he told The Boston Globe in 1989. “Then all of a sudden you come away from the page and you don’t know what to do.”

mardi 10 septembre 2013

Tentacion de Cuba à St. Christol (34)


Samedi 21 Septembre

ST-CHRISTOL- Hérault 
Samedi 21 Septembre à 21h00
Pôle Oenotouristique Viavino
 

TENTACION DE CUBA
Dans le cadre des 10ème Vendanges à l'ancienne de St-Christol et de la Semaine Culturelle de Montpellier Cuba-Solidraité !
Tentacion de Cuba est un groupe né en terre cubaine à la fin des années 90, de la volonté de l'auteur-compositeur Pedro Garcia Fernandez et de son frère Julio. Peu après installé en France, ils réuniront de jeunes musiciens pour composer ce qui forme aujourd'hui le nouvel orchestre de "Tentacion de Cuba"
Les amateurs de musique vivante seront sensibles à la démarche de ce septet qui va nous plonger aux sources mêmes de la musique cubaine, une musique faite de bois, de graines et de peaux séchées, de voix, de cordes et de cuivres, une musique vive et légère, aigre et douce, qui se plaît à bousculer les temps forts pour mieux créer l’apesanteur. 
Ses musiciens vous embarqueront dans un magique voyage musical et vous transmettront tout leur plaisir et leur joie au rythme de Son Cubain (genre musical cubain), Cha Cha cha et autres Boléro Cumbia.

En partenariat avec la commune de St-Christol, la Communauté de Communes du Pays de Lunel, l'Office du Tourisme du Pays de Lunel et de l'association Cuba Solidarité de Montpellier.


 SAMEDI 21 SEPTEMBRE
 St-Christol, Pôle oenotouristique Viavino, 21h00
Tarifs : 15 euros / 13 euros (adhérents) / gratuit pour les moins de 16 ans
Renseignements et préventes au 04 66 80 30 27

Billetterie en ligne

vendredi 6 septembre 2013

Tom Harrell, trompettiste

Tom Harrell était sur scène en 2011 à Junas pendant le Festival: le Languedoc-Roussillon rencontre Chicago.
On se rappelle  l'homme habillé en noir avec sa barbe et cheveux blanche, sa trompette collée contre lui, quelque part perdu dans ses pensées quand le saxophoniste anglais Wayne Escoffery jouait un solo de hard-bop.
Au moment que Wayne s'arrêtait, Tom mettait sa trompette lentement dans sa bouche et jouait son solo; après il se mettait de nouveau dans sa posture 'zombie' en attendant !

Tom Harrell grand  trompettiste  souffre depuis  sa jeunesse de la schizophrénie ; la trompette lui est son meilleur médicament.

Sur le jazzblog de Steve Cerra 'Jazzprofiles'  il y a des longues interviews en anglais  avec Tom sur sa vie , sa maladie et la musique; à lire et déguster!



Tom Harrell à coté de Wayne Escoffery pendant Jazz à Junas 2011; photo: Cherif Boubrit




http://youtu.be/WCea4i_1nHw




mardi 3 septembre 2013

L'Agglo au Rythme du Jazz 2013


Chers amis,
Hier a été dévoilée la programmation réalisée par Jazz 70 de la 8ème édition de l'Agglo au Rythme du Jazz.
Nous vous laissons découvrir ce programme en pièce jointe et espérons vous retrouver nombreux sur cette édition riche en découverte, fidèle à nos objectifs tournés vers tous les jazz pour tous, vers la nouvelle génération et vers les musiciens régionaux.
Les places seront en vente dans les locaux de Nîmes métropole à partir du 5 Septembre à 8h (chèque et espèce) et dans les points de ventes habituels (fnac, géant, carrefour, Corra, Leclerc, Cultura, Auchan : frais de location en +)
Toutes ces informations pratiques sont détaillées en pièce jointe.
Au plaisir de vous croiser dans l'Agglo entre le 27 Septembre et le 21 octobre !
Laurent Duport, Président de Jazz 70
Stéphane Kochoyan, Membre de l'Académie du Jazz
et toute l'équipe de Jazz 70

www.jazz70.fr