à l'âge de 75 ans.
Magic Slim et son groupe 'The Teardrops' donnait un vrai concert de blues pendant le festival de 2012
Chicago-style blues guitarist Magic Slim dies in Philadelphia at 75; got sick while on tour
PHILADELPHIA — Magic Slim, a contemporary of blues greats Muddy Waters and Howlin’ Wolf who helped shape the sound of Chicago’s electric blues, has died at age 75.
His manager Marty Salzman says Slim died shortly after midnight Thursday at a Philadelphia hospital. Salzman says Slim had health problems that worsened while he was on tour several weeks ago in Pennsylvania
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Magic Slim and the Teardrops performed Chicago-style electric blues, led by his singing and guitar playing, and were regulars on the music festival circuit.
Slim’s given name was Morris Holt. The Mississippi native established himself in Chicago’s thriving blues community in the 1950s but more recently lived in Lincoln, Neb.
Salzman calls Slim “the realredistributed. deal” with fans around the globe.
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Magic Slim & the Teardrops Going to Mississippi
00:07:20
Ajoutée le 07/07/2008
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Magic Slim (Morris Nolt à l’État civil), le stetson noir posé sur son impressionnante stature, est l’une des dernières légendes du Chicago blues. Si le début de sa carrière remonte au milieu des années 50 en tant que bassiste pour Magic Sam, Slim (a-t-on un jour vu pseudonyme plus inapproprié ?) ne réalise son premier enregistrement qu’en 1966. Il reprend alors les standards du moment (de Muddy Waters, Percy Mayfield, Bo Diddley, Otis Redding ou Little Milton…) et entame un pléthorique répertoir de compositions personnelles. La légende colporte qu’ils connaissent alors plus de 500 thèmes qu’ils jouent à la demande. Shuffles ou boogies, blues lents ou titres plus funky, le sudiste cultive le tout d’un style monolithique et obsédant.
La guitare est rustique, parcimonieuse et incisive. La voix est rugueuse, empreinte de cette rocaille propre aux maraudeurs de l’Amérique profonde. Dans le froid glacial du Michigan, Le colosse a travaillé comme ouvrier du bâtiment le jour, pour le soir venu se produire dans les clubs interlopes de “Windy City”. Massif et authentique, à son image, le style de Magic Slim ne s’embarrasse pas de fioritures et frappe directement au foie.
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