mardi 20 septembre 2011

Premier concert de Jazz à Junas après les vacances

SAISON JAZZ A JUNAS 2011 (11ème édition)

VERARGUES - Hérault / Soirée Jazz, Bal et Vin

Samedi 24 Septembre à 21h00 (Salle Polyvalente)

Impérial Orphéon

Rémy Poulakys : accordéon / Gérald Chevillon : saxophone basse / Damien Sabatier : saxophone baryton / Antonin Leymarie : batterie

L’Impérial Orphéon c’est la rencontre de quatre musiciens poly instrumentistes dont le souci d’exigence et d’originalité se traduit par une énergie complice et explosive sur scène.

Leur rythmique précise et fiévreuse ainsi que l’utilisation de la famille des saxophones au grand complet nourrissent les ouïes d’une musique rauque et généreuse par la variété des timbres développés.

Le quartet revisite façon «orphéon» des choros brésiliens, thèmes bulgares endiablés, standards de musettes, tours de chants rossiniens. Une invitation à la danse insolite et joyeusement déjantée !

Avec cette nouvelle formation, l’Impérial Orphéon trace une ligne musicale inventive aux contours accrocheurs, ce qui ne signifie pas sans surprise. Le souffle est là qui bouscule et dérange les codes par ses associations multiples et diverses !

En partenariat avec la Communauté de Communes du Pays de Lunel, l'Office de tourisme du Pays de Lunel et la Mairie de Vérargues.

Tarifs : 15 euros / 13 euros (adhérents) / gratuit pour les moins de 16 ans

Présence de viticulteurs locaux pour la découverte de leur vin.

Renseignements et préventes au 04 66 80 30 27

www.jazzajunas.asso.fr

Le week-end se poursuivra par une journée des Vendanges à l'ancienne le dimanche 25 à St-Christol :

• 8h départ avec les attelages et les ânes bâtés pour les vendanges à la main,

• RDV à l’esplanade de l’ancienne gare

• 9h30 petit-déjeuner du vendangeur

• 11h30 foulage au pied

• 12h visite des caveaux et dégustations

• 13h30 repas au Mas de Theyron (Boisseron).

Réservation obligatoire (20 €) : Office de Tourisme du Pays le Lunel - 04 67 71 01 37
-Et n'oubliez pas de dire bonjour à notre très charmante et nouvelle
collaboratrice
Sarah Bessié au bureau de Jazz à Junas!

mercredi 14 septembre 2011

Archie Shepp et Gnawa Fire Music

http://www.citizenjazz.com/Archie-Shepp-et-Gnawa-Fire-Music.html

Voilà quelques photos d'Archie Shepp et Gnawa Fire Music à Junas 2011, que notre ami Frank Bigotte a mis sur Citizen Jazz. Très bonne lecture!

Archie Shepp et Gnawa Fire Music

Archie Shepp et Gnawa Fire Music à Junas dans les Carrières le 22 juillet 2001 avec :
Archie Shepp (saxophones), Hamid Drake (batterie), Tom Mac Clung (piano), Abdellah El Gourd (guembri), Mahmoud Guinia (guembri), Malika Guinia (voix) et Jean-Jacques Avenel (contrebasse).

Cliquez sur une image pour l'agrandir ou accéder au diaporama
Reproduction Interdite
Archie Shepp
Archie Shepp
Archie Shepp
Archie Shepp
Hamid Drake
Hamid Drake
Archie Shepp
Archie Shepp
Jean-Jacques Avenel
Jean-Jacques Avenel
Archie Shepp
Archie Shepp
Hamid Drake
Hamid Drake
Tom Mac Clung
Tom Mac Clung
Tom Mac Clung
Tom Mac Clung
Jean-Jacques Avenel
Jean-Jacques Avenel
Jean-Jacques Avenel
Jean-Jacques Avenel
Tom Mac Clung
Tom Mac Clung
Hamid Drake
Hamid Drake
Abdellah El Gourd
Abdellah El Gourd
Mahmoud Guinia
Mahmoud Guinia
Abdellah El Gourd
Abdellah El Gourd
Archie Shepp
Archie Shepp

lundi 12 septembre 2011

Un peu de Couleur de notre Festival


Impression pendant la balance du concert d'Archie Shepp de Hamid Drake et Jean-Jacques Avenel

Concert par les Stagiaires de Junas


Photo faite par Jeanne Davy du grand concert des jeunes stagiaires au Temple

Chicago s'invite à Jazz à Junas (Robert Latxague)


Voilà 2 articles écrites par Robert Latxague sur notre Festival de Chicago 2011 apparues sur le Forum de JazzMagazine du mois de Septembre 2011


#2421

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Chicago s'invite à Jazz à Junas 1 Mois, 2 Semaines ago Karma: 17
Jazz à Junas, Junas (Gard), 20, 21 juillet
Denis Fournier (dm), Tomeka Reid (cello), Nicole Mitchell (fl), Hanah John Taylor (ts, fl), Bernard Santacruz (b)
Ahmad Jamal (p), Jammes Cammack (b), Herlin Riley (dm), Manolo Badrena
China Moses (voc), Raphael Lemonnier (p), Daniel Huck (as), Jean Pierre Derouard (dm), Fabien Marcoz (b),
Tom Harrell (tp, bu), Wayne Escoffery (ts), Ugoma Okegwo (p), Dany Grisset (p), Jonathan Blake (dm)


Comment relier Junas à Chicago ? Par le jazz évidemment. Telle est la gageure que le festival gardois a voulu relever pour sa 18e édition. En faisant appel à des musiciens qui ont un lien physique ou professionnel avec la ville américaine bien sur. En y associant des musiciens français pour des projets spécifiques également. En privilégiant enfin la relation avec l’AACM (Association for the Advancement of Creative Musicians) dans le travail de perpétuation, de renouvellement et de création que poursuit l’association dans la ville des grands lacs du nord des Etats-Unis. Un projet ambitieux et original pour le festival de Junas. Une manière de pari.
Watershed, soit le partage des eaux, titre signifiant au possible, entre parfaitement dans la définition d’un tel cadre. Pour une jonction de deux lignes musicales autour de l’écriture et de l’improvisation Denis Fournier a invité deux musiciens de Chicago, et pas n’importe lesquels: le saxophoniste Hanah John Taylor, ancien leader de l’AACM ainsi que la flutiste Nicole Mitchell qui en est l’actuelle présidente. Un parti pris théorique qui demandait validation au travers d’une concrétisation formelle, évidemment. Pari tenu pour le batteur nîmois, avec une réalisation paradoxalement presque plus ancrée dans l’écriture que sur un matériau strictement tourné vers l’improvisation. Au plan percussion Fournier joue beaucoup sur la partie tambour, privilégiant les caisses de son set de batterie, manière idoine de caractériser la sonorité de l’orchestre. Au plan collectif il établit des tempos flottants, le groupe fabricant en simultané de beaux alliages de cordes (la basse poto mitan de Bernard Santacruz, les lignes croisées de l’étonnante violoncelliste Tomeka Reid) et de cuivres. Dans un tel contexte les deux faces exposées alternativement (fragile, aérienne ou dense pour la flute de Nicole Mitchell, façon force tranquille de Taylor) produisent un complément de lignes musicales continues ou brisées.
Ahmad Jamal ne se situe évidemment pas au niveau de ce type de problématique. Sa musique toujours très fortement ancrée au plan rythmique (Kaleidoscope) offre des séquences très construites à partir d’incessantes relances rythmiques. On ne peut à proprement pas parler de surprise, de nouveautés. On connaît l’art de Jamal sur son piano, la précision dans l’exposé, la puissance du toucher sur le clavier, le sens de la construction dans les thèmes ou les (désormais courtes) parties solo. Ce qui frappe néanmoins c’est bien la minutie qu’il manifeste à tout propos dans son rôle de leader, le pointillisme marqué dans la conduite de l’orchestre. Il distribue les rôles, instille les montées en tension, provoque à dessein les moments d’intensité puis d’apaisement. Sur scène le pianiste distille des petits signes de main comme autant de codes. De quoi guider ses musiciens, les placer successivement dans le travail collectif ou le développement solo. Assez étonnant sinon singulier tout de même de le voir (comme cadré dans un plan large de réalisation télé) fonctionner en permanence sur un regard exposé en triangle (piano/basse/batterie) d’échange et d’impulsion vis-à-vis de James Cammack et Herlin Riley. Pour communiquer avec Manolo Badrena situé dans son dos, le pianiste est obligé de se retourner ou carrément de se lever pour lui demander de placer un chorus de percussions. L’_expression_ scénique de l’orchestre d’Ahmad Jamal donne un produit jazz carré, dynamique, efficace en diable. Au point d’oublier les vertus de son seul art pianistique -il est vrai désormais sacralisé- au profit de la musique de l’orchestre.
China Moses parle beaucoup. Trop sans doute eu égard au temps de ses chansons. A Junas la chanteuse tenait à expliquer le pourquoi plus le comment du choix de son répertoire construit autour d’un hommage à ses chanteuses de jazz fétiches (Dinah Washington, Esther Philips, Mamy Philips) Au total une somme de justifications, d’explications de texte au sens propre comme au figuré, un brin de pédagogie, un verre d’émotion plus une dose de provoc sexy question attitude et posture. La recette d’un cocktail ainsi épicé ne remet pas en cause le savoir faire vocal. Simplement la répétition obsessionnelle du commentaire atténue l’impact du chant. Le rythme du show. Ses musiciens (y compris Raphael Lemonnier, pianiste arrangeur) en restent à une mise en place, à la nécessité de sa mise en orbite à elle. Conséquence : dans les parties solos, même Daniel Huck habituellement très volubile ne parvient pas toujours à suffisamment pousser le curseur. Quelques éclairs malgré tout : You’re crying autrefois arrangé par Quincy Jones ou Work Song de Nat Adderly
Tom Harrel est un homme à part. Tom Harrell reste un phénomène en tant que musicien de jazz. Il règne une étrange atmosphère autour d’un concert du trompettiste autiste. Il ne dit pas un mot. Il ne fait pas un geste, légèrement penché vers l’avant. Pour démarrer chaque morceau le voilà qui frappe du pied le rituel un, deux, un deux trois quatre ! Silhouette statuaire grise il ne bouge les lèvres que pour souffler dans sa trompette. A ce moment pourtant sa sonorité unique –tarte à la crème peut-être ! mais en un certain sens Harrel prolonge le sillon moelleux de la sonorité Chet Baker- au bugle en particulier, troue la nuit des carrières d’une surprenante brillance. La vérité musicale de Tom Harrel surgit exclusivement de l’intérieur comme un souffle qui en prolongerait un autre. Un sax très coltranien dans la puissance du son, l’élan lyrique, un batteur au physique de pilier de rugby maori plutôt singulier dans la finesse, la précision de ses interventions rythmiques, un son d’ensemble sans faille, au total un jazz carré (Ridin, River Samba) Osons la comparaison pour un repère dans l’histoire du jazz (pas forcément de facture chicagoanne soit dit en passant, mais dans un exposé brillant Alexandre Pierrepont, ethnologue musical a clairement explicité la mobilité, les points de passage et d’échange propre au champ jazzistique) Question qualité musicale le Tom Harrel Quintet figure des Messengers remis au goût du jour.

A suivre

Robert Latxague


Article par Robert Latxaque (Jazzmagazine) sur Junas 2011

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Les petits cailloux US de Jazz à Junas 1 Mois, 2 Semaines ago Karma: 17 Karma+ Karma-
Hamid Drake (dm), Nicole Mitchell (fl, pico), Michel Edelin (fl,, fl b), Harrison Bankead (b)
Archie Shepp (ts, ss, voc), Tom Mc Clung (p), Jean Jacques Avenel (b), Hamid Drake (dm) + groupe Gnawa: Malika Gania (voc), Mahmoud Gania (voc, guembri), Abdellah El Gourd (voc, guembri)
Chico Freeman (ts, ss, voc), Ivan Bridon (p), Rodrigo Rodriguez (perc), Francis Arnaud (dm), Yoel Soto (b)
Eddy Clearwater (voc, g), Tom Crivellone (voc, g), Shoji Nato (hca, b), Steve Bass (dm)

A l’occasion de la dix huitième édition du festival Hamid Drake et Nicole Mitchell auront foulé la scène des carrières plus que quiconque. Sans doute parce que tous deux véhiculent au plus près l’esprit et la lettre du jazz de Chicago version AACM. Réunis au sein du trio du batteur, Indigo, ils ont invité Michel Edelin à se joindre à eux. Ainsi véhiculée par deux flutes la musique en ressort gonflée de sérénité façon voile sous l’alizé. Soulignées par un jeu de batterie marqué d’un sens de la nuance très aiguisé, les trames harmoniques ressortent simples, comme lissées et de ce fait portées à un certain degré d’évidence. Dans la construction d’un tel cadre, Michel Edelin autant que Nicole Mitchell participent d’un climat apaisé. Bornée par les murs de pierre des carrières, bercée par le souffle très contrôlé des deux flûtes, la musique estampillée Chicago soft échappe un instant au contexte historique typé blues ou wind city…
Hamid Drake s’avère décidément un foutu batteur ! En ce qu’il s’adapte, impose sa griffe, déclenche à tout va selon le moment, le contexte. Avec Archie Shepp au gouvernail, sur deux ou trois thèmes servis en guise de hors d’œuvre il enfile sans crier gare le costume d’Elvin Jones. Son drumming à feu continu jaillit frappé d’une énergie primaire. Puis dès lors que les Gnawas entrent en en jeu il s’efface illico de l’avant scène histoire de tisser une toile de pulsions souples en arrière plan, frappe cymbales ou charleston histoire d’accentuer le battement binaire. L’art des musiciens gnawas porte à l’incantation, le rythme comme rituel codé en question-réponse. Archie Shepp au sax place son sur-lignage. Tel un soufflet de forge il attise les souffles, ici flatte les basses (ténor), là compresse les aigues (soprano). Au besoin jusqu’à l’incandescence.
Chico Freeman lui joue les paradoxes. Fils d’un des saxophonistes icône de la ville (Von Freeman), sur la scène de Junas il choisit de sortir carrément du cadre chicagoan pour se présenter à la tête d’un combo « musica latina » (les musiciens issus des west-indies honnissent la formule toute faite latin jazz) truffé de percussions. De fait sans autre forme d’explication ni plus d’indication il entraine son auditoire sur des rythmes afro-cubains jusqu’au rap en passant par la balade ou le standard. Un itinéraire gorgé de couleurs, semé d’incessants changements de cap rythmiques qui appellent au voyage musical. Un parcours valorisé par la qualité intrinsèque de jeunes musiciens aux racines afro-américaines et caraïbes (Ivan Bridon, encore un pianiste cubain de qualité, Rodrigo Rodriguez explosif percussionniste colombien notamment, appuyé par Francis Arnaud, habituel batteur d’Eddy Louiss) Un moment phare : l’évocation de Moment’s Notice qu’il définit comme « un des morceaux les plus complexes du jazz que John Coltrane a pourtant écrit dans le studio en vint minutes seulement lors de la session de Blue Trane » Une conclusion singulière : un rap hardware en duo de voix Chico Freeman/Rodrigo Rodriguez. En ressort une (sur)impression diffuse : dans cette formule polymorphe Chico Freeman fait davantage jouer ses musiciens qu’il ne pratique, s’exprime lui-même. Dommage : on aurait aimé profiter plus et mieux de sa sonorité chaude, charnue. Du plaisir lié à son savoir ès jazz pluriel.
Le blues d’Eddy Clearwater clôture le festival dans une nuit devenue frisquette malgré les lumières empourprées caressant les dalles de calcaire. Guitare acidifiée, voix gitane-whisky, harmonica en contrechant déchiré-déchirant : le blues électrisant servi alive and well de la part d’une de ses figuras encore en vie. Quoi de plus naturel en somme à propos d’un Chicago bien évoqué ?
Métamorphosé en Petit Poucet du jazz, Stéphane Pessina-Dassonville, le boss–mot un peu dévoyé à propos d’un festival porté à bout de bras par d’increvables bénévoles- avait d’entrée voulu marquer, avec Chicago et après New York, une seconde borne dans le périple américain entamé par Jazz à Junas. Sur les accords de « Ce n’est qu’un au revoir… » il annonce au final que le prochain petit caillou devrait être semé dans les carrières en direction de la Nouvelle Orléans. On salive d’avance à la perspective d’une autre joyeuse jouissive prise de risque. En contre-pied manifeste d’un certain Wynton M., autre type de boss local ?...

Robert Latxague

Jazz à Junas, programme 2ème semestre

LA SAISON 2011, 2ème semestre !!

Retrouvez la programmation complète du 2ème semestre de la saison 2011 !!!

- Samedi 24 septembre 2011 :

Impérial Orphéon VERARGUES, 21h00 salle polyvalente

- Jeudi 20 octobre 2011 :

Isabelle Olivier Solo MASSILLARGUES-ATUECH, 18h30 Cave Coopérative

- Samedi 22 octobre 2011 :

Isabelle Olivier Trio invite Monica Passos et Beniat Achiary LE VIGAN, 21h00 Auditorium du Lycée André Chamson

- Vendredi 2 décembre 2011 :

Elliott Murphy Quartet et Pascal Gasquet Duo VERGEZE, 20h30 Vergèze Espace

- Vendredi 9 décembre 2011 :

Trio d'En Bas NIMES, 20h30 Milonga Del Angel

LES BILLETS DE LA SAISON EN VENTE EN LIGNE !!

Tous les billets sont en vente directement sur internet à 15 et 13 euros*

*hors frais de location appliqués par les opérateurs

Cliquez sur le nom des groupes :

Impérial Orphéon

Isabelle Olivier Trio invite Monica Passos et Beniat Achiary

Elliott Murphy Quartet et Pascal Gasquet Duo

samedi 10 septembre 2011

Programme l'AgglOaurythme du JAZZ

Programme complet à consulter et en téléchargement : http://www.nimes-metropole.fr/index.php?page=74 rubriqu

Deux récompenses pour Nicole Mitchell

Article publié sur Citizen Jazz sur Nicole Mitchell, notre grande artiste du festival 2011

Deux récompenses pour Nicole Mitchell

Communiqué :

« Nicole Mitchell a reçu l’Alpert Award in the Arts 2011 dans la catégorie musique.

Chaque année, cinq artistes sont couronnés par un Alpert Award dans les domaines suivants : danse, cinéma/vidéo, musique, théâtre et arts plastiques.

Les Alpert Awards pour la musique ont déjà été décernés à : Lukas Ligeti (2010), John King (2009), Derek Bermel (2008), Mark Feldman (2007), Lawrence D. Butch Morris (2006), David Dunn (2005), Miya Masaoka (2004), Vijay Iyer (2003), Laetitia Sonami (2002), Zhou Long (2001), Steve Coleman (2000), George Lewis (1999), Pamela Z (1998), Chen Yi (1997), Anne LeBaron (1996), James Carter (1995).

D’autre part, la Jazz Journalist Association a élu pour la deuxième année consécutive Nicole Mitchell meilleure flûtiste de l’année. »

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Photo © Frank Bigotte

A écouter sur le site de RoguArt en attendant d’autres projets passionnants pour l’année prochaine et les suivantes avec Nicole Mitchell :

  • INDIGO TRIO – MICHEL EDELIN (Nicole Mitchell, Harrison Bankhead, Hamid Drake, Michel Edelin), THE ETHIOPIAN PRINCESS MEETS THE TRANTRIC PRIEST
  • JOELLE LEANDRE/NICOLE MITCHELL/DYLAN VAN DER SCHYFF, BEFORE AFTER
  • NICOLE MITCHELL’S SONIC PROJECTIONS (Nicole Mitchell, Craig Taborn, David Boykin, Chad Taylor), EMMERAL HILLS
  • INDIGO TRIO (Nicole Mitchell, Harrison Bankhead, Hamid Drake), ANAYA
  • HAMID DRAKE & BINDU (Hamid Drake, Daniel Carter, Ernest Dawkins, Sabir Mateen, Greg Ward, special guest Nicole Mitchell), BINDU

  • http://www.citizenjazz.com/Deux-recompenses-pour-Nicole.html

    mardi 6 septembre 2011

    Concert Le Jazz est là à Nîmes le 23 septembre


    Le Jazz est là donnera son premier concert de la saison le vendredi 23 septembre au Ever'In à Nîmes avec le Quintet de Benoit Culot

    dimanche 4 septembre 2011

    "The Chief ", Eddy Clearwater à Junas







    Description
    Surnommé « The Chief », Eddy Clearwater est, à plus de 75 ans, l’un des derniers représentant du Chicago Blues des années 1960. Cette forme rugueuse, grasse et électrifié du genre qui peut-être comprise comme le plus direct ascendant du rock’n’roll.
    Eddy Clearwater est gaucher, mais joue, comme le fera Jimi Hendrix, sur des guitares de droitiers montées à l’envers. Difficile d’ailleurs de ne pas entendre son influence dans le jeu du Voodoo Chile
    Niché dans l'incroyable ancienne carrière de pierres de Junas, entre le Gard et l'Hérault, la 17e édition du festival met à l'honneur la musique de Chicago.
    Crédits
    • Artistes : Eddy Clearwater (guitare, chant), Tom Crivellone (guitare, chant), Shoji Naito (basse harmonica), Steve Bass (batterie) • Réalisateur : Giuseppe De Vecchi • Cadreurs : Jérémie Clement, Manuel Deiller, Benoït Dugovic, Edmond Zimmermann, Patrick Errera • Son : Pierrick Saillant • Production : Mezzo / Oléo Films 2011 / ARTE France

    Archi Shepp musique Gnawa



    20110722 junas archi shepp 02 musique gnawa par zimprod