Voilà une belle photo du Trio Pascal Gasquet prise par Frank Bigotte pendant le concert à Vergèze; pour des autres photos de Frank Bigotte, mettez vous sur Citizen jazz: http://www.citizenjazz.com/Pascal-Gasquet-trio.html
En dessous (ou d'en bas)vous trouverez un article écrit par Michel Arcens le 30 janvier 2012 sur le Trio d'en bas, un concert qu'on a bien aimé en décembre au Milonga à Nîmes
Le Trio d’en bas
Le « Trio d’en bas » qui a obtenu le prix du concours Jazz Migration 2010 et enregistre son premier disque, invente une musique sans frontières qui s’ancre pourtant dans la tradition, de Parker au free jazz, tout en créant de nouveaux et réjouissants univers.
Il y a parfois d’heureuses surprises au détour du parcours noctambule et plus ou moins hasardeux de l’amateur de jazz. Le Trio d’en bas en sur la scène du Médiator à Perpignan, à l’invitation du festival Jazzèbre est de ces moments réjouissants que vous n’attendez pas forcément et qui, finalement, vous emportent et transportent pour longtemps. Parce que vous avez, sans y être préparé le moins du monde, découvert non seulement un nouveau groupe, mais aussi une nouvelle musique.
Sur leur site, fort complet, on peut lire : « Dans un tel contexte d’insécurité sonore flagrante, d’absence de repères et de surdité croissante […] ne restons pas sans voix face à de telles menaces. » Histoire d’expliciter le projet, les musiciens ajoutent - et affirment joliment sur scène et dans la vie, avec humour et intelligence, brio et jubilation : « Adeptes du collage, de la superposition et du décalage des différentes formes musicales, c’est […] dans l’absence de carcans que l’on trouvera le ciment de ce qui fait la cohésion de l’ensemble du travail de la compagnie. »
Objectif atteint, sans aucun doute. Le « Trio d’en bas » se fait peu à peu une réputation. Il a par exemple été lauréat du concours Jazz Migration 2010 (prix décerné par l’AFIJMA et la FIJ). Il est en train d’enregistrer son premier disque entre Perpignan et Carcassonne. Souhaitons-lui le succès qu’il mérite : venu « d’en bas » il nous tire vers « le haut. »
http://www.citizenjazz.com/Le-Trio-d-en-bas.html
Il y a parfois d’heureuses surprises au détour du parcours noctambule et plus ou moins hasardeux de l’amateur de jazz. Le Trio d’en bas en sur la scène du Médiator à Perpignan, à l’invitation du festival Jazzèbre est de ces moments réjouissants que vous n’attendez pas forcément et qui, finalement, vous emportent et transportent pour longtemps. Parce que vous avez, sans y être préparé le moins du monde, découvert non seulement un nouveau groupe, mais aussi une nouvelle musique.
- Le Trio d’en bas © H. Collon/Objectif Jazz
- Arnaud Rouanet © H. Collon/Objectif Jazz
Sur leur site, fort complet, on peut lire : « Dans un tel contexte d’insécurité sonore flagrante, d’absence de repères et de surdité croissante […] ne restons pas sans voix face à de telles menaces. » Histoire d’expliciter le projet, les musiciens ajoutent - et affirment joliment sur scène et dans la vie, avec humour et intelligence, brio et jubilation : « Adeptes du collage, de la superposition et du décalage des différentes formes musicales, c’est […] dans l’absence de carcans que l’on trouvera le ciment de ce qui fait la cohésion de l’ensemble du travail de la compagnie. »
Objectif atteint, sans aucun doute. Le « Trio d’en bas » se fait peu à peu une réputation. Il a par exemple été lauréat du concours Jazz Migration 2010 (prix décerné par l’AFIJMA et la FIJ). Il est en train d’enregistrer son premier disque entre Perpignan et Carcassonne. Souhaitons-lui le succès qu’il mérite : venu « d’en bas » il nous tire vers « le haut. »
http://www.citizenjazz.com/Le-Trio-d-en-bas.html
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